mercredi 1 juillet 2020

LE VACCIN TUEUR

Un article de Michel DOGNA 

L’OMS admet par inadvertance que les vaccinations
ne fonctionneront pas contre le coronavirus
(le 18 mai 2020 / Par Ethan Huff)

En essayant de maintenir la pandémie aussi longtemps que possible, il semblerait que l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) insiste pour que le développement de l’immunité naturelle contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) ne soit pas possible, et que le seul espoir de la société soit un vaccin.
Mais si l’immunité naturelle est hors de question, alors pourquoi l’immunité induite par le vaccin serait-elle meilleure ? Et bien sûr on ne parle pas des effets secondaires plus ou moins gravissimes, voire mortels, dont l’histoire depuis plus d’un siècle relate des statistiques effrayantes dans le monde.
Dans une annonce récente, l’OMS a déclaré qu’il n’y avait aucune preuve solide suggérant que les personnes testées positives pour le coronavirus de Wuhan (COVID-19) et rétablies, aient acquis une immunité naturelle – ce qui sous-entend qu’elles pourraient être à nouveau infectées. Mais cette allégation n’est qu’une simple hypothèse opportuniste visant à tenir le peuple obéissant à suivre des « directives de sécurité » comme le port de masque et la distance physique.
En fait l’OMS déplore (craint !) que "Les personnes qui supposent qu’elles sont immunisées contre une deuxième infection parce qu’elles ont reçu un résultat de test positif puissent ignorer les conseils de santé publique". Evidemment puisque le but de la manœuvre est d’amener tout le  monde à accepter le "vaccin". Une fois que ledit vaccin sera disponible, le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, souhaite qu’il soit distribué "gratuitement" à tout le monde – fausse gratuité puisque les contribuables paieront collectivement la facture par l’intermédiaire de leurs impôts. C’est une excellente nouvelle pour l’eugéniste milliardaire Bill Gates, qui se voit déjà encaisser le jackpot pharaonique sur lequel il mise ardemment.
La façon dont Gates, l’OMS et la bande d’extrémistes pandémiques prévoient de maintenir le public dans l’attente du vaccin magique "licorne" est de continuer à semer la peur concernant la menace permanente d’infection. Pourtant, l’une des dernières affirmations qu’ils ont lâchées est que le COVID-19 ne disparaîtra jamais (!!!). C’est ainsi que le Dr Mike Ryan, directeur des urgences de l’OMS, lors d’une récente conférence de presse virtuelle a déclaré :
"Il est important de mettre cela sur la table : ce virus peut devenir juste un autre virus endémique dans nos communautés, et ce virus peut ne jamais disparaître".
Oui, cela signifie qu’ils admettent implicitement que ce virus, comme tous les Coronavirus grippaux est un mutant permanent, et que tous les vaccins seront donc obsolètes tous les 6 mois ou moins encore, de même que pour la grippe hivernale. 
Conclusion : attendre LE vaccin libérateur est vraiment une utopie stupide.
Source de cogiito.com : PAJ

LE FAUX VACCIN OBLIGATOIRE :

un modificateur génétique
de l’espèce humaine

Ce qu'on nous présente comme un nouveau type de vaccin qui va nous "sauver" du Covid 19 est en réalité une modification génétique irréversible de notre ADN, ce qui est pourtant totalement interdit !
Même les traitements homéopathiques de nettoyage ne pourront plus rien une fois le vaccin inoculé... 
Voici une lettre d'avertissement inquiétante de la naturopathe allemande Anette Lillinger à tous ses patients s'informant du prochain vaccin contre le coronavirus (traduction).
Je voudrais attirer d'urgence votre attention sur des questions importantes concernant la prochaine vaccination Covid-19 programmée.
Au cours des 20 dernières années, des patients sont régulièrement venus me voir pour être traités parce qu’ils avaient développé des symptômes après avoir été vaccinés.
Bien entendu, de tels symptômes et maladies associées ayant été produits artificiellement ont toujours été plus difficiles à traiter que les maladies qui découlent de la nature du patient, c'est-à-dire qui sont d'origine naturelle.
En particulier, les conséquences des vaccinations étaient jusqu'à présent principalement dues aux adjuvants ajoutés pour boosters ou stabiliser les substances actives. Ceux qui ne pouvaient pas être éliminés par le corps de certains vaccinés, entraînaient des désordres plus ou moins sévères nécessitant un drainage homéopathique pouvant s’étaler sur plusieurs mois.
Or, en raison du nouveau mode d'action du futur vaccin "contre les coronavirus", de tels succès de guérison ne seront plus possibles à l'avenir. Pour la première fois dans l'histoire de la vaccination, les vaccins mARN de dernière génération interviennent directement sur le matériel génétique. Ceci a été́ formellement interdit jusqu'à présent, et même considéré comme acte criminel !
De leur côté les politiciens - et les médias à la botte de Big Pharma - banalisent cette question et appellent même à accueillir ce nouveau type de vaccination moderne. Chers amis, je répète qu’après une telle vaccination inédite, il sera impossible d’en guérir les conséquences avec lesquelles vous devrez vivre toute votre vie.
Vous devez savoir qu’à l’heure actuelle on ne sait pas guérir les maladies de défauts génétiques telles que la trisomie 18 ou 21, le syndrome de Klinefelter, le syndrome de Turner, l’hémophilie, la fibrose kystique, le syndrome de Rett, etc.), et le défaut génétique reste en place, une fois présent, pour toujours !
Ces nouveaux vaccins représentent un crime contre l'humanité qui n'a jamais été commis sous une forme aussi large dans l'histoire.
Le Dr Wolfgang Wodarg, médecin expérimenté a déclaré : "En réalité, ce "vaccin prometteur" pour la grande majorité des gens est en fait une manipulation génétique interdite !"
Je confirme :
Il n'y a pas plus grand danger pour l'humanité que le prochain vaccin obligatoire mondial anti Covid 19 qui va être imposé par l'organisation mafieuse "OMS" et les états alignés sur l'état profond, d’ici quelques mois...
Et si vous essayez de comprendre la situation vous pouvez deviner pourquoi les gouvernements français et autres interdisent les produits qui guérissent comme l'hydroxychloroquine avec l'azithromycine et autres biothérapies qui guérissent du covid, ainsi que les produits naturels tel l’Artemisia Annua... Il est alors clair que toute cette guerre contre le Professeur Raoult n'a qu'une intention : faciliter psychologiquement la vaccination diabolique programmée...
Transmettre d’urgence cette information autour de vous
est le plus grand acte civique
que vous puissiez effectuer pour l’humanité.

Dernière minute

Brevet de Nanoparticules 
par MICROSOFT 


Le 26 Mars 2020, il y a au la publication du brevet intitulé : "CRYPTOCURRENCY SYSTEM USING BODY ACTIVITY DATA", déposé le 21 Septembre 2018 aux USA (date de priorité) par la société MICROSOFT TECHNOLOGY LICENSING LLC, qui, comme vous le savez, a été créée par Bill Gates, et avec laquelle il entretient toujours d’étroites relations. Vous pouvez consulter ce brevet en cliquant sur le lien suivant : 
Lorsque vous prendrez connaissance de ce brevet, dès l’examen de la Figure 1, et de son contenu, vous comprendrez, avec horreur, les intentions criminelles de Bill Gates et de ses alliés du NOM, au premier rang desquels figurent le président Macron et son gouvernement.
Pour introduire ces nanoparticules dans le corps de la population mondiale, ils n’ont qu’un moyen : vacciner avec le vaccin anti-Covid-19, qui est déjà fabriqué et qui contient les nanoparticules. Ils ont déjà fabriqué et testé plusieurs vaccins. En cliquant sur le lien suivant vous pourrez constater que le vaccin ChAdOx1 nCoV-19 est déjà fabriqué et testé :
Le 28 Mai 2020, de Pomezia, Italie :
Ce vaccin a été fabriqué en insérant dans le virus vecteur ChAdOx1 (adénovirus du Chimpanzé) le génome du virus Covid-19, selon le procédé décrit dans le lien suivant :
Le virus Covid-19, responsable de la fausse pandémie, a été fabriqué par l’Institut Pasteur, à partir du virus naturel Sars-CoV issu d’un prélèvement respiratoire effectué, en 2003, à l’hôpital français de Hanoi (Vietnam) par les chercheurs de l’Institut Pasteur (voir Brevet Européen EP 1 694 829 B1). Et qui a été transformé comme décrit dans les Brevet US 8,343,718 B2, déposé le 17 mars 2011, par l’Institut Pasteur.
Le vaccin définitif contient :
  • les nanoparticules décrites dans le Brevet PCT/US2019/038084 de Microsoft, dont les personnes vaccinées ne pourront jamais se débarrasser, et qui permettra de contrôler définitivement les personnes vaccinées grâce à la 5G,
  • un conservateur qui sera probablement le Thimérosal, dérivé mercuriel mortel strictement interdit chez l’homme,
  • et des antibiotiques tels que la Néomycine, la Polymyxine, etc.
Nul doute que toute personne
qui aura pris connaissance de ces informations,
refusera d’être vaccinée.

dimanche 28 juin 2020

Vaccins composition

Shanna Joy ′′ J ' ai rassemblé tous les ingrédients du vaccin dans une liste et j'ai contacté Poison Control. Après les intros et autres, et demander à parler à quelqu'un de titulaire et de bien informé, voici l'essentiel de cette conversation.
Moi : ma question est de savoir comment ces ingrédients sont-ils classés ? Comme bénigne ou poison ? (J ' ai dirigé quelques ingrédients, formaldéhyde, Tween 80, mercure, aluminium, phénoxyéthanol, phosphate de potassium, phosphate de sodium, sorbitol, etc. )
Lui : Eh bien, c'est une sacrée liste... Mais je dois dire facilement qu'ils sont tous toxiques pour les humains... Utilisés dans les engrais... Pesticides... Pour arrêter le cœur... Pour préserver un mort corps... Ils sont enregistrés chez nous dans différentes catégories, mais ils sont plutôt poisons. Pourquoi ?
Moi : Si j'étais délibérément pour nourrir ou injecter ces ingrédients à mon enfant souvent, comme programme, évidemment, je mettrais ma fille en danger... Mais qu'est-ce qui m'arriverait légalement ?
Il : question étrange... Mais vous seriez probablement accusé de négligence criminelle... peut-être dans l'intention de tuer... et bien sûr de maltraitance envers les enfants... Votre enfant vous serait enlevé... Connaissez-vous quelqu'un qui fait ça à son enfant ? C ' est criminel...
Moi : une industrie... Ce sont les ingrédients utilisés dans les vaccins... Avec des agents contraignants pour s'assurer que le corps ne les chasse pas... Pour maintenir le niveau des anticorps indéfiniment...
Lui : QUOI ?!
Ta conclusion ?
L ' homme était à côté de lui-même. Il m'a demandé si je lui enverrais toutes ces informations. Il voulait le partager avec ses enfants adultes qui sont parents. Il a été horrifié et il s'est senti mal qu'il ne savait pas... Ses enfants sont vaccinés et ils ont des problèmes de santé..."
~ Par Iris Figueroa 🍃♥️🍃
INGRÉDIENTS AUX VACCINS - Vous ne pouvez pas prendre une décision instruite sans être éduqué.
Voici quelques ingrédients vaccins.
Ceux-ci sont injectés dans vos enfants ;
Formaldéhyde / Formalin - poison et cancérigène hautement toxiques.
Bétapropiolactone - Toxique chimique et cancérigène. Peut causer une mort / blessure permanente après une très courte exposition à de petites quantités. Chimie corrosive.
Bromure d'hexadécyltriméthylammonium - Peut causer des dommages au foie, au système cardiovasculaire et au système nerveux central. Peut causer des effets reproductifs et des malformations congénitales.
Hydroxyde d'aluminium, phosphate aluminium et sels d'aluminium - Neurotoxine. Porte un risque d'inflammation / gonflement cérébral à long terme, de troubles neurologiques, de maladie auto-immune, d'Alzheimer, de démence et d'autisme. Il pénètre le cerveau où il persiste indéfiniment.
Thimérosal (mercure) - Neurotoxine. Induit des dommages cellulaires, réduit l'activité de réduction de l'oxydation, la dégénérescence cellulaire et la mort Lié aux troubles neurologiques, Alzheimer, démence et autisme.
Polysorbate 80 & 20-offense la barrière cérébrale sanguine et emporte avec elle l'aluminium, le thimérosal et les virus ; ce qui lui permet d'entrer dans le cerveau.
Glutaraldéhyde - Toxic chimique utilisée comme désinfectant pour les équipements médicaux sensibles à la chaleur.
Sérum bovine fœtal - récolté à partir de fœtus de bovins (vaches) pris de vaches enceintes avant l'abattage.
Cellules de fibroblast diploïdes humaines - cellules fœtales avortées. L ' ADN étranger a la capacité d'interagir avec le nôtre.
Cellules de rein de singe vert africain - Peut porter le virus causant le cancer SV-40 qui a déjà contaminé environ 30 millions d'Américains.
Acétone - Peut causer des dommages au rein, au foie et au nerf.
E. Coli - Oui, tu as bien lu.
ADN du porcin (cochon) Circovirus type-1
Cultures de cellules pulmonaires embryonnaires humaines (issues de fœtus avortés)
Vous pouvez voir tous ces ingrédients sur le site web des CDC. J ' encourage chacun à faire ses propres recherches. Regardez la fiche signalétique sur ces produits chimiques. Lisez les milliers d'études évaluées par des pairs qui ont évalué les conséquences biologiques que ces produits chimiques peuvent avoir sur le corps, surtout lorsqu'ils sont injectés.
Vérifiez les ingrédients du vaccin ici :
https://www.cdc.gov/vaccines/pubs/pinkbook/downloads/appendices/b/excipient-table-2.pdf
#educatebeforeyouvaccinate #injectionisdifferentthaningestion #learntherisks #informedconsent
https://www.facebook.com/drryanberlin/posts/10160167051315215
Sang animal dans les vaccins
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1620411/pdf/amjphnation00376-0090.pdf
La nourriture contenue dans les vaccins, comme l'huile d'arachide, etc. montre qu'
https://vaccinesafetycommission.org/pdfs/08-2015-Journal-Food-Allergies.pdf?fbclid=IwAR1_LCjNcaF36gVwoqz3k59njsc4ShWeJIi-cMZK3tt_VqydCL2vnB0AQdM
Guide du vaccin
https://vaccine.guide
Crédit : Iris Figueroa est l'âme courageuse qui a appelé le poison. J ' ai cherché tout ça. Chapitre 10 dans mon livre Victorious Mère. www.VictoriousMother.com
Veuillez réserver 30 minutes pour rechercher les ingrédients du vaccin. Si vous avez déjà une copie de mon livre, commencez à la page 230 et faites attention au graphique de la page 233.
Les décès infantiles ont baissé 30 % depuis le début du covid ? Pourquoi ? Parce que les ′′ chèques bien nourris ′′ sont des rendez-vous vaccins 💉 et que ceux-ci n'ont pas lieu en ce moment.
👉🏼 Le crédit post-crédit revient à Carrie Liebich, merci pour cet esprit qui élargit les informations.

mercredi 1 avril 2020

neo santé





NEO SANTE            

                                       COVID-19 : on tient un suspect !


Ça va, vous tenez le coup dans ce monde devenu fou ?   Moi, je vous avoue que la situation commence déjà à me peser. Je n’ai jamais supporté que mes enfants soient tristes, or ma fille aînée m’a confié hier sa tristesse d’avoir assisté à une violente dispute dans un magasin entre trois personnes : l’une d’entre elles avait approché les deux autres à moins d’1,5 m, ce qui ne leur a pas plu du tout !  Voilà où nous conduit cette virophobie démentielle ayant accouché du confinement généralisé.  Il faut stopper ce cauchemar au plus vite ! Cette semaine, je pare au plus pressé et je me focalise sur la situation en Italie. Comme le répète invariablement l’infectiologue Didier Raoult dans ses vidéos devenue virales, les pandémies sont une fiction. Ça n’existe pas, ça n’a jamais existé et ça n’existera  sans doute jamais. Les flambées épidémiques sont écosystémiques et doivent s’analyser dans leur contexte biotopique.  De quel(s) déséquilibre(s) relationnel(s) entre les êtres humains et leur environnement sont-elles la conséquence ?   Concernant Wuhan, nous en sommes réduits au jeu des hypothèses. Selon une source que je ne citerai pas encore car je n’ai pas pu la recouper, une pollution majeure suivie d’une vive protestation populaire durement réprimée pourrait avoir été le facteur déclencheur. Mais il faudrait pouvoir longuement enquêter sur place pour étayer cette possibilité. Laissons la Chine de côté puisque, de toute façon, la maladie baptisée Covid-19 et attribuée au coronavirus SARS-Cov2 y a quasiment disparu. Ce qui n’est pas du tout le cas de l’Italie qui a enregistré presque le double  de décès avec une population 22 fois inférieure. Comment expliquer  une telle tragédie ?

Deux observations s’imposent d’emblée. La première, c’est qu’il ne s’agit pas d’une crise frappant l’Italie dans son ensemble, ni même l’Italie du Nord qui compte ¾ des victimes. L’épicentre de l’épidémie italienne se situe plus précisément en Lombardie, région qui s’octroie 2/3 du fromage macabre. C’est impressionnant et ça  s’est concrètement traduit par des crématoriums débordés et des colonnes de véhicules militaires emportant les cercueils vers d’autres cimetières que ceux de Bergame et Brescia. Images glaçantes qui parlent mieux que les statistiques.  La deuxième chose à noter, c’est que les médias se trompent et nous trompent en affirmant  sans cesse que « cette maladie concerne tout le monde ». Selon le rapport officiel du 17 mars 

(Enregistré ss documents :Report-COVID-2019_17_marzo-v2)


 de l’Istituto Superiore di Sanità, l’âge moyen des personnes décédées était de 79,5 ans (3  ans de moins que l’espérance de vie à la naissance) et  seulement  0,8% des victimes n’avaient pas de pathologies antérieures. Un quart en avait une, un autre quart deux et la moitié trois.  Dans l’ordre, les plus fréquentes étaient l’hypertension artérielle, le diabète et les cardiopathies ischémiques. Dans 20% des cas, il y avait présence d’un cancer et dans 13% des cas,  celle d’une BPCO (Bronchopneumopathie Chronique Obstructive).  Qu’on le veuille ou non, que ça plaise ou non,  la Covid-19  fauche très préférentiellement les vieilles personnes déjà très malades. Il n’y a aucun cynisme à constater cette réalité. Si on pense, comme moi,  que le virus n’est pas seul en cause, il reste cependant à élucider  la surmortalité lombarde. Pollution automobile ?  Le trafic à Milan est beaucoup plus intense que dans les villes les plus touchées, et pas plus dantesque que dans d’autres métropoles. Défaillances du système de santé ? Au contraire, données et témoignages indiquent que les infrastructures et le personnel médical sont ce qui se fait de mieux en Italie,  pays où les soins sont totalement gratuits. À mon avis,  c’est justement l’accès facile à cette offre abondante qui pose question. Dans un de ses ouvrages majeurs (Némésis médicale , 1975), le penseur écologiste Ivan Illich montrait déjà que passé un seuil de développement, la médecine occidentale moderne devient « contre-productive », c’est-dire que ses inconvénients commencent à dépasser ses avantages, ses risques à peser plus lourds que ses bénéfices. Dans le monde industrialisé, l’art de guérir est  ainsi devenu  celui de nuire à la santé. S’il parvient paradoxalement à repousser l’âge de la mort, c’est au prix d’une morbidité (nombre de malades dans la société) plus répandue.

Vous me voyez venir ?  J’insiste en effet  sur la composante iatrogénique de la crise sanitaire  italienne. Selon le rapport cité plus haut (*), 83 % des patients diagnostiqués, pris en charge et décédés ont reçu des antibiotiques, 52%   des médicaments antiviraux et 27% de la cortisone. On peut bien sûr supposer que nombre d’entre eux ont reçu les trois traitements en même temps. Le rapport  est muet sur l’usage d’antipyrétiques et d’anti-inflammatoires non-stéroïdiens (AINS) mais on peut également se douter que ces substances chimiques sapant le pouvoir d’auto-guérison sont employées sans retenue et sans discernement. Selon une de mes amies habitant là-bas et lisant la presse locale,  la chloroquine fait  aussi partie de l’arsenal médical d’au moins un hôpital. Or  si elle est certainement peu nocive (le contraire se saurait puisqu’ on l’emploie depuis plus de 70 ans), la molécule préconisée par le Dr Raoult n’est  quand  même pas un bonbon pour la toux. Au-delà d’1 g par jour, elle peut mener à l’intoxication et celle-ci est fatale dans 20% des cas.  La mise sous oxygène ? Dans une infolettre précédente, je vous ai signalé que cette pratique était loin d’être anodine et qu’elle pouvait  sérieusement léser les poumons.  Mais savez-vous que la version supérieure de cette technique,  le respirateur artificiel, nécessite d’endormir les patients ?  L’anesthésie générale, ce n’est pas non plus un geste médical dépourvu de risque létal.  En additionnant tous ces facteurs potentiellement iatrogènes, on obtient  une explication non négligeable du désastre nord-italien. Toutefois, je vous avoue que je gambergeais pas mal ces deux dernières semaines : même si elle compte  pour beaucoup, la iatrogénie subie peu avant ou pendant les soins intensifs ne suffit certainement  pas à expliquer l’ampleur du drame en Italie. Il y avait forcément autre chose, mais quoi ? 

La semaine dernière, je mentionnais une étude américaine montrant que la vaccination anti-grippale  favorise les infections à coronavirus. C’est une pièce importante à verser au dossier mais ça n’explique toujours pas la flambée lombarde.  Ailleurs dans le pays et dans plein d’autres pays, ce vaccin inutile et dangereux est conseillé et injecté à de nombreux vieux de plus de 60 ans. Si la valence influenza était si délétère, ça se verrait davantage.  J’en étais encore à me creuser la cervelle quand j’ai reçu, il y a deux jours, un article saisissant de Dominique Guillet. Pour ceux qui ne le connaissent pas, cet explorateur de l’univers végétal est le fondateur de l’association française Kokopelli, qui a mené avec succès le combat pour la liberté de commercialiser et d’échanger des  semences non inscrites aux catalogues officiels.  Entérinée par une décision européenne, cette victoire  devrait lui valoir mille fois le prix Nobel alternatif. Quand il ne poursuit pas cette lutte libertaire et qu’il ne rédige pas des monographies sur des plantes alimentaires ou médicinales, Dominique Guillet fait du journalisme citoyen et publie le résultat de ses investigations sur son site internet. Dans le long article qu’il a mis en ligne avant-hier et que vous pouvez lire en cliquant ici,


Psychose, Macronavirose, Vaccinose et Pot aux Roses. 01

Publié le 22 mars 2020
Première Partie. Vaccinations Anti-Méningite et Pathologies Respiratoires Imputées au Coronavirus ID/2019
Cet essai est, strictement, consacré aux thèmes de la psychose et de la non-existence du coronavirus Covid/19 à l’instar de la non-existence du virus du Sida/VIH et à l’instar de la non-existence du virus H1N1 de 1918. Accrochez-vous au bastingage car la mer médiatique va devenir houleuse!! Au vu de l’accélération de la Dictature en Marche – à savoir de l’orchestration de l’enfermement de la population Française et de la suppression de toutes ses libertés – je mets en ligne la première partie de ce dossier dont la finalité est de mettre en lumière que ce n’est pas le CovID/2019 qui crée une narration…
Tout au contraire, c’est une “narration” qui crée le CovID/2019 et qui amène, tout naturellement, à une autre “narration”, celle de l’Agenda ID/2020 mis en place, dès 2017, par la Fondation Bill Gates, par la Fondation Rockefeller, par Microsoft, par le Forum de Davos et surtout par GAVI  – the Vaccine Alliance, à savoir toute la mafia pharmacratique et vaccinaliste. L’objectif déclaré de l’Agenda ID/2020 est une campagne de vaccination universelle assortie d’un puçage électronique. Elle est déjà mise en application, cette année, au Bangladesh, la première nation cobaye de cette entreprise génocidaire et criminelle.
Réveillez-vous et Révoltez-vous!

Campagnes Massives de Vaccinations anti-Méningite… en Lombardie
Aujourd’hui, la problématique fondamentale à exposer est la suivante. “La Grippe Espagnole” de 1918/1920 fut, en fait, une pneumonie bactérienne initiée par une campagne expérimentale de vaccination antiméningococcique au Kansas, durant le printemps 1918 – à l’actif de l’Institut Rockefeller pour la Recherche Médicale.
J’invite, ainsi, tous les internautes, les journalistes, les citoyens et même les “intellectuels et philosophes” (si tant est que ce vocable ait encore un sens au vu de tous ceux qui sont à genoux devant une poignée de dictateurs et de tortionnaires) à enquêter dans les régions les plus touchées par des pathologies respiratoires afin de déterminer s’il pourrait exister une corrélation avérée avec des campagnes de vaccination massive à l’encontre de la méningite (ou même, en fait, du papillomavirus) – telle que celle de 2017 portant sur 30 000 volontaires en Bourgogne. [45]
Alors qu’en Italie, la population de la province de Bergame, en Lombardie, est la plus impactée, en ce moment, par des pathologies respiratoires dramatiques… n’est-il pas très avisé de chercher des corrélations, trop évidentes, entre ces pathologies pulmonaires et la récente campagne de vaccination antiméningococcique (gratuite), de janvier 2020, dont toute la population de cette région a été le sujet suite à une épidémie de méningite à méningocoques… impactant 6 personnes – dont deux décédèrent – en décembre 2019?
Le 18 mars 2020, le journal Libération titrait “Covid-19 : «A Bergame, nous faisons un enterrement toutes les trente minutes»”. [44] Est-ce une coïncidence que Bergame fut, aussi, l’épicentre d’une vaccination antiméningococcique massive – juste deux mois auparavant?
Sommes-nous dans la même situation “d’infections bactériennes” que lors de la pandémie de 1918/1920 qui décima 65 millions de personnes, sur la planète et, avant tout, des personnes ultra-vaccinées et ultra-médicamentées? Voir les explications ci-dessous.
Est-ce pour cela que le Professeur Didier Raoult – totalement ostracisé et tourné en ridicule par les Autorités – insiste tant sur l’usage de l’Hydroxychloroquine et de la Chloroquine? En effet, même si ce médicament allopathique, la Chloroquine, utilisé depuis plus de 70 ans, s’est avéré de moins en moins efficace en tant qu’antipaludique – de par les résistances développées par le parasite Plasmodium falciparum [63]  [64] de nombreuses études pharmacologiques ont mis en exergue ses capacités anti-bactériennes, du moins in vitro. Par exemple, à l’encontre de la bactérie Legionella pneumophila responsable de la légionellose; à l’encontre de la bactérie Coxiella burnetii responsable de la Fièvre Q ; à l’encontre de la bactérie Tropheryma whipplei responsable de la maladie de Whipple, etc – ainsi que le Professeur Didier Raoult le met en exergue dans son étude de 2007 intitulée “Recycling of chloroquine and its hydroxyl analogue to face bacterial, fungal and viral infections in the 21st century.” [46] Les dizaines d’études, sur lesquelles le Professeur Didier Raoult a travaillé, sont disponibles sur le site du NCBI aux USA. [47]
Il est évident, bien sûr, que ces remèdes allopathiques, très toxiques, induisent des effets secondaires délétères avérés. [56]  [65] Par exemple, la Chloroquine, au contraire de l’Hydroxychloroquine, est excessivement dangereuse pour les quelques centaines de millions de personnes mâles qui souffrent d’une carence en glucose-6-phosphate déshydrogénase: la Chloroquine, chez ces mâles, peut provoquer une anémie hémolytique qui, dans les cas les plus sévères, entraine une dysfonction létale du système rénal. Cette déficience génétique concerne plus particulièrement les mâles de descendance Méditerranéenne et Africaine.
Il n’est, ainsi, pas dans mes habitudes de promouvoir un anti-paludique de synthèse, lorsque tant de Plantes Médicinales Maîtresses sont beaucoup plus efficaces, mais vue la situation de détresse respiratoire, chez certaines parties de la population très âgées, très vaccinées ou très psychosées, et vu le non-accès à ces Plantes Médicinales Maîtresses [48], il est sûrement très sage de rester à l’écoute de ce que le Professeur Didier Raoult préconise, en attendant mieux – même si le paradigme officiel, et conventionnel, dont se réclame ce professeur repose, en grande partie, sur une hallucination collective. D’autant plus que ce professeur s’oppose, strictement, à tout confinement d’urgence de la population et d’autant plus que l’épouvantable psychose, orchestrée par la Dictature d’Etat, crée l’inflammation ou l’amplifie. [9] 
D’ailleurs, le très suspect Dr Christian Perronne – chef de service en infectiologie à Garches, vaccinolâtre invétéré (premier signataire pour les 11 vaccins obligatoires) et fanatique des antibiotiques pour le traitement de Lyme – vient de révéler que tout le stock de Chloroquine de la Pharmacie Centrale a été pillé. [57] A quel jeu joue donc le Dr Christian Perronne? Qui sont les pilleurs?
Que se passe-t-il réellement en Macronie déliquescente? Qui accuse le Professeur Didier Raoult d’être un gourou – alors qu’il se présente, strictement, comme un pragmatiste? Pourquoi les Décodeurs du Décodex de l’ImMonde ont-ils catégorisé les vidéos de cette éminence mondiale de la pharmacologie dans leur rubrique, tout autant immonde, de Fake-news? Vont-ils en finir avec le Professeur Didier Raoult comme avec tant d’autres chercheurs authentiques: à savoir l’incarcération, pure et simple – pour non-obéissance aux diktats de l’Etat – ou un suicide avec une balle dans le dos? Ou tout cela n’est-il que du théâtre grotesque, à savoir une vaste supercherie orchestrée par des déments criminels experts en manipulation sociale – et très experts en Mal Social?
Que se passe-t-il réellement, au sein du Grand Théâtre Guignolesque de la Macronie très déliquescente lorsque des membres de la Tribu Levy s’épanchent, du moins officiellement, en guerre intestine? En effet, l’infâme BH Levy a pris, récemment, la défense du Professeur Raoult quant à l’offensive orchestrée, depuis des années, par le couple criminel et vaccinaliste Agnès Buzyn/Yves Levy.
Pendant ce temps, Novartis/Syngenta/ChinaChem, l’une des multinationales les plus biocidaires de la sphère Agro-Pharmacratique – rachetée par l’Etat Chinois en 2017 – la main sur le coeur, propose 130 millions de doses de Chloloroquine… [62] Pour faire oublier que leur agriculture hautement chimique et toxique tue des milliers de personnes par jour?
Dans l’un de ses récents interviews, Didier Raoult avoue qu’en ce qui concerne les patients qu’il traite, actuellement, atteints d’infections respiratoires: «il y en a 50 % dont on ne sait pas ce qu’ils ont, c’est notre grande ignorance [58] D’où la question fondamentale suivante: la moitié des patients pour lesquels le diagnostic est inconnu, ont-ils été “testés” positifs, négatifs ou neutres?
S’agit-il, donc – essentiellement, purement et simplement – d’un virus psychotique généré par une narration d’Etat tout autant psychotique? Avec, en prime, l’arnaque des Tests de positivité/négativité… très promus, d’ailleurs, par le Professeur Didier Raoult. Quels Tests???? Puisque le Coronavirus ID/2019 n’existe pas….
S’agit-il d’un immense théâtre de dupes avec des histoires imbriquées les unes dans les autres et toutes aussi FAKE les unes que les autres? Afin de générer une pléthore de dissonances cognitives, au sein de la population, en en accroissant d’autant la psychose?
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Le 17 janvier, le conseiller pour le bien-être de la région de Lombardie, Giulio Gallera, déclarait: «Plus de 33 500 personnes ont été vaccinées en quelques semaines contre le Meningoque C, avec des pics de 70% de l’objectif attendu. Par conséquent, la première phase du plan d’action régional pourrait se terminer, avec la fin des activités de la plupart des 14 cliniques extraordinaires… Nous ne laisserons pas tomber notre garde et, à partir du lundi 20 janvier, il sera toujours possible de se faire vacciner gratuitement par les médecins généralistes et les pédiatres de libre choix dans leurs cabinets. De plus, les vaccinations programmées se poursuivront dans les écoles et les entreprises qui ont montré leur volonté de les accueillir selon le calendrier déjà défini».
Voici le communiqué officiel de la région de Lombardie: «En ce qui concerne les cas de méningite (méningococcie invasive C) survenus ces derniers jours dans la région du Bas-Sebino, région de Lombardie, les agences de protection de la santé (ATS) de Bergame et de Brescia en accord avec le ministère de la santé et l’Istituto Superiore di Sanità, ont décidé d’élargir l’offre de vaccination gratuite par une action de vaccination extraordinaire tant dans les communes principalement concernées (Villongo, Credaro, Sarnico, Predore, Paratico) que dans les communes voisines (Adrara San Martino, Adrara San Rocco, Castelli Calepio, Foresto Sparso, Gandosso, Grumello del Monte, Parzanica, Tavernola Bergamasca, Viadanica, Vigolo, Iseo, Capriolo.) ». [42]
En effet, une “ceinture de sécurité extraordinaire” fut lancée par la Région Lombardie, à partir du 24 décembre 2019, avec une offre de vaccination gratuite à l’encontre de la méningite. [40] Elle couvrait plus particulièrement la Province de Bergame – la région de Basso Sebino et de Grumello.
La quasi-totalité de cette population fut vaccinée, en janvier 2020, à l’encontre de la méningite suite à une épidémie de Méningite C, qui sévit durant plusieurs mois… et qui toucha 6 personnes dont deux décédèrent!! Tout va bien?
Selon les données provenant des conseillers de la Région Lombardie, la quasi-totalité de la région de Basso Sebino et de Grumello fut vaccinée. Qui plus est, certains médecins prescrivaient des antibiotiques aux personnes les plus effrayées – dont certaines, même, commencèrent à porter des masques de protection dès le début janvier 2020 – de par le fait que la vaccination antiméningococcique “ne prend effet” qu’au bout de quelques semaines. [41] Il semblerait, également, que cette campagne de vaccination antiméningococcique C était concomitante de vaccinations à l’encontre du papillomavirus.
Il est à noter qu’une étude de 2007, publiée par Elsevier, mettait en exergue la non-nécessité d’une vaccination universelle antiméningococcique en Lombardie – de par l’impact quasiment inexistant de cette pathologie dans cette région de l’Italie qui accueille 20% de sa population globale.  [38]
En janvier 2020, la campagne systématique de vaccination antiméningococcique, en Lombardie, fut étayée, très amplement, par la “peur des Migrants” – à savoir par la peur de cette gigantesque Invasion de Migrants Africains programmée par les Banksters de l’Europe afin de détruire ce qu’il reste du tissu social de nombreux pays Européens.
Le 9 janvier 2020, l’Institut Supérieur de Santé de Rome (Istituto Superiore di Sanità) déclarait: «L’attention doit donc rester élevée, tant dans le cas spécifique de l’épidémie de Bergame que dans le cas de cas isolés qui pourraient survenir. Pour soutenir le suivi et la gestion des cas et des flambées, la coordination nationale du système de surveillance des maladies bactériennes invasives de Neisseria meningitidis, Streptococcus pneumoniae et Haemophilus influenzae et de la méningite bactérienne est active au sein du service des maladies infectieuses de l’ISS. De plus, grâce aux travaux du Laboratoire national de référence pour le méningocoque, l’ISS soutient le diagnostic et le séquençage génomique d’échantillons et les initiatives de santé publique dont la stratégie de vaccination». [39]
Pour mémoire. Neisseria meningitidis, ou Méningocoque, est une bactérie induisant des méningites. Haemophilus influenzae, autrefois appelée Bacille de Pfeiffer, est une bactérie présente dans plus de la moitié de la population – considérée comme porteuse saine. Elle profite de l’affaiblissement de l’organisme humain pour générer des pathologies telles que: otite, sinusite, méningite, bronchite, pneumopathie, septicémie… Streptococcus pneumoniae, ou pneumocoque, est une bactérie induisant plusieurs types d’infections: otite, sinusite, méningite, bronchite, pneumopathie, septicémie… Il en existe de nombreuses souches qui sont devenues totalement résistantes aux antibiotiques.
Lorsque l’on consulte la fiche Vidal pour le vaccin Méningitec, par exemple, cela fait frissonner. En fait, ce vaccin, comme tous les vaccins antiméningococciques – et, en fait, comme tous les vaccins – est hautement dangereux et j’invite les lecteurs à consulter la page du site Initiative Citoyenne concernant ces vaccins antiméningococciques génocidaires. [43]
La région autonome de Sardaigne a publié une étude en 2019 sur le thème de la vaccination antiméningococcique. [34] De plus, il est à noter qu’une étude de septembre 2018 intitulée “Do Tuscan people adhere to meningococcal C vaccination during an emergency campaign?” s’interrogeait quant à l’acceptation, par la population de Toscane, d’une vaccination antiméningococcique suite à une “épidémie”, en 2015, générant 52 cas d’infection. Lors de cette campagne, les personnes de plus de 55 ans d’âge furent informées que la médecine conventionnelle ne pouvait assurer aucune certitude de protection conférée par ce type de vaccins. Pour la tranche d’âge de 11 à 45 ans, ce sont 64 998 personnes qui furent vaccinées à Florence et en Toscane – à savoir une couverture de 21%.  [37]
Le but affiché était également de réduire l’incidence de la méningite, en vaccinant en priorité les plus jeunes, et les adolescents, afin de développer le concept très prisé, et complètement débile, “d’immunité de troupeau”. La tranche d’âge de 11 à 20 ans fut, ainsi, couverte à 47%. C’est en 2005 que la vaccination à l’encontre de la méningite C fut introduite, en Italie, pour les nourrisson âgés de douze mois. [36]
De plus, on entend, dernièrement, des témoignages provenant d’Italie quant à la découverte, par des médecins de Lombardie, de formes bizarres de pneumonie nécessitant des analyses spéciales de scanner  et autres – et datant d’octobre, novembre et décembre 2019. C’est ce qu’affirme, par exemple, le Professeur Giuseppe Remuzzi, Directeur de l’Institut Mario Negri de Recherches Pharmacologique de Milan. [60] Ne pourrait-on pas suspecter que ces nouvelles formes de pneumonie non habituelles soient, également, générées par la campagne de vaccination anti-méningite qui était, déjà, bien en cours durant l’automne 2019? [61]  A savoir, bien avant cette campagne de vaccination systématique qui eut lieu durant les deux premières semaines de janvier 2020 dans la région de Bergama – et dont furent victimes 35 000 personnes (et selon d’autres sources locales, environ 45 000 personnes).
En Italie, selon les statistiques officielles du Ministère Italien de la Santé, ce sont 2 400 000 personnes, dans ce pays, qui souffrent de Maladie Pulmonaire Obstructive Chronique – et de 20 à 40 % développent pleinement cette pathologie. Selon le Professeur Yoram Lass, ancien ministre de la Santé en Israël, «L’Italie est réputée pour son énorme morbidité en ce qui concerne les problèmes respiratoires, plus que trois plus que dans les autres pays Européens… De plus, chaque année, en Italie, ce sont 17 000 Italiens qui décèdent de la grippe».
Le Professeur Yoram Lass est, présentement, très critiqué, en Israël, pour avoir osé affirmer que le coronavirus est un virus avec des relations publiques, que la presse est hystérique et qu’il est criminel de confiner les gens car il y aura plus de décès par dépression que par coronavirose. [66]
En Italie, de plus, la Lombardie et le nord du pays se caractérisent  par une population très âgée, par une population de très gros fumeurs de tabac (à savoir de cigarettes chimiques toxiques) et par une extrême pollution atmosphérique. 
Selon les photographies satellitaires, c’est l’Italie du nord qui constitue la région la plus polluée d’Europe. Certains chercheurs ont, d’ailleurs, fait remarquer que le pic de cas, souffrant de détresse respiratoire, à Wuhan, en janvier 2020, fut concomittant d’une vague d’extrême pollution. [68] Wuhan fut le théâtre de mouvements de protestations, durant l’été 2019, à l’encontre de cette extrême pollution caractérisant la capitale de la province d’Hubei.  [69]
Rappelons, de nouveau, que la moyenne d’âge des décès, attribués à la coronavirose, en Italie, est de 79,5 ans: à savoir quasiment 90% des décédés ont plus de 70 ans et 10 % des décédés ont plus de 90 ans. Faut-il rappeler, de plus, que ce sont environ 633 000 décès qui ont été enregistrés en Italie, en 2018, à savoir 1735 par jour – de causes diverses et variées.
Selon le 20 ème Congrès, de l’automne 2019, de l’AIPO (Association Italienne des pneumologues hospitaliers), les maladies respiratoires constituent, ainsi, en Italie, la troisième cause de décès après les maladies cardiovasculaires et le cancer. Plus de 11 000 personnes décèdent, dans ce pays, par exemple, de bronco-pneumonie, chaque année.
Se rappelle-t-on qu’en janvier 2018, suite à une mauvaise grippe, les hôpitaux de Lombardie étaient en panique à cause du manque de places disponibles dans les services de réanimation? Cette problématique sévissait, alors, dans les hôpitaux de Policlinico, San Raffaele, San Gerardo de Monza et San Matteo de Pavie. Il n’était, alors, pas question de Covid… N’est-ce pas? [71]
Selon des statistiques officielles, portant sur l’année 2014 et concernant l’Italie, ce sont 20 234 personnes qui sont décédées de maladies des voies respiratoires et ce sont 33 386 personnes qui sont décédées de tumeurs et cancers de la trachée, des poumons et des bronches. Ce sont, ainsi, 54 000 personnes qui sont décédées de maladies respiratoires, en Italie, en 2014 – à savoir 147 par jour. [67] Pour une population de 60 millions.
Ce chiffre est à rapprocher de celui, commenté plus bas, de 37 144 personnes décédées, en 2015, de Maladies Pulmonaires Obstructives Chroniques, dans la province d’Hubei, en Chine, une province de 70 millions d’habitants. A savoir 102 personnes par jour.
Ce chiffre est à rapprocher, également, du nombre oficiel de personnes décédées en Espagne, de maladies pulmonaires, à savoir, 46 812 personnes, en 2016, pour une population de 47 millions d’habitants. [70] A savoir 128 personnes par jour.
En France, selon les chiffres apportés par l’Inserm, ce sont environ 17 000 personnes qui meurent chaque année de bronchopneumopathie chronique obstructive – à savoir 47 décès par jour.  En 2013, environ 145 000 personnes atteintes de formes sévères de cette pathologie ont bénéficié d’une oxygénothérapie de longue durée (associée ou non à un traitement par ventilation) à savoir 400 personnes par jour. Pour une population de 67 millions dhabitants. 
De plus, en France, selon les statistiques officielles, ce sont environ 31 000 personnes qui décèdent du cancer des poumons, tous les ans – à savoir 85 décès par jour. Question: combien de ces personnes atteintes d’un cancer terminal des poumons sont accueillies, dans les hôpitaux, en service de réanimation oxygénée? De plus, rappelons que ce sont 150 000 personnes qui décèdent annuellement de cancers en France – et les cancers ne sont pas tombés du ciel. 

La Grippe Espagnole de 1918/1920 fut une Pneumonie Bactérienne
Le 4 mars 1918, le caporal Albert Gitchell de l’Armée US rapporta qu’une centaine de soldats du Camp Funston à Fort Riley, au Kansas, souffraient de symptômes de type grippal. Ce sont ces militaires qui constituèrent, ainsi, la première vague des victimes de ce qui fut appelé subséquemment, par les Autorités, la “Grippe Espagnole”. Cette épidémie se répandit rapidement dans d’autres camps militaires, et prisons, et puis, ensuite, sur les champs de bataille de la Première Grande Boucherie Mondiale – car ce furent 84 000 soldats US qui débarquèrent en Europe, en mars 1918, suivis de 118 000 soldats US, en avril 1918. La “Grippe Espagnole” tua 675 000 personnes aux USA et jusqu’à 65 millions de personnes, de par le monde, selon les estimations les plus élevées.
La “Grippe Espagnole” ne fut jamais une grippe virale mais une pneumonie bactérienne induite par une campagne de vaccinations expérimentales.
En effet, du 21 janvier au 4 juin 1918, les soldats du Camp Funston, au Kansas, constituèrent les sujets expérimentaux, les cobayes, d’une nouvelle vaccination, à l’encontre de la méningite bactérienne, issue de l’Institut Rockefeller pour la Recherche Médicale de New-York, et concoctée par le Lieutenant Peter K. Olitsky. Le rapport expliquant, dans le détail, les diverses procédures de vaccination est intitulé “A report on antimeningitis vaccination and observations on agglutinins in the blood of chronic meningococcus carriers” et il date du 20 juin 1918.
Selon ce rapport – rédigé par l’eugéniste Frédérick Gates – ce sont la quasi totalité des soldats du 342 ème Régiment d’Artillerie de Terre qui se portèrent volontaires pour cette vaccination suite à un seul cas de méningite, dans ce régiment, en Octobre/Novembre 1917. Ce rapport fait, ainsi, état de plus de 5000 soldats utilisés comme cobayes. Cette campagne expérimentale de vaccinations comprenait trois injections de 2000 millions, de 4000 millions et de 4000 à 8000 millions de méningocoques à quelques semaines d’intervalle. [19[20]
Frédérick Gates rédigea également une autre étude, en juin 1918, intitulé “Antibody Production after Partial Adrenalectomy in Guinea Pigs”. [21] Cette étude faisait suite à deux autres du même genre: une, de 1907, intitulée “Serum Treatment of Epidemic Cerebro-Spinal Meningitis”, de Simon Flexner et Joblings, [22] et une, de 1916, intitulée “A Method for the Rapid Preparation of Antimeningitis Serum”, de Amos et Wellstein. [23]
Simon Flexner fut le premier directeur du Rockefeller Institute for Medical Research – de 1901 à 1935. [28] Il travaillait plus spécifiquement sur les vaccins anti-polio. C’est son frère Abraham Flexner qui fut l’auteur de l’infâme “Flexner Report” qui fit fermer la moitié des écoles de médecine aux USA.
A savoir : c’est Abraham Flexner qui fit fermer toutes les écoles médicales, aux USA,  qui enseignaient l’homéopathie – afin de promouvoir la Pharmacratie Industrielle, l’allopathie et ses vaccins toxiques.
A cette époque, Karl Landsteiner travaillait également sur la poliomyélite et c’est à l’Institut Pasteur de Paris qu’il effectua ses expérimentations criminelles sur les singes de cet Institut Pasteur – tout autant criminel. [25]
Le Rockefeller Institute for Medical Research fut créé, en 1901, par John D. Rockefeller. Son directeur était William Welch, un eugéniste, un membre de la Fraternité Skull and Bones de l’Université Yales et un directeur de l’Eugenics Record Office Records – ainsi qu’il est stipulé dans cette étude, de 2018, intitulée “The power of heredity and the relevance of eugenic history”. [26]
Voici la contribution essentielle de la Doctoresse Eleanor McBean qui fut témoin de cette tragédie sanitaire en 1918. C’est un extrait de son ouvrage “Swine flu Exposed” de 1977 et la traduction est celle de Pierre Marie au Québec. [24]
«J’ai été témoin sur place de l’épidémie de grippe de 1918. Tous les médecins et les gens qui ont vécu à l’époque de l’épidémie de grippe espagnole de 1918 disent que ce fut la maladie la plus terrible que le monde ait jamais connue. Des hommes vigoureux et robustes pouvaient ainsi mourir du jour au lendemain. La maladie présentait les aspects de la peste noire, comme aussi de la fièvre typhoïde, de la diphtérie, de la pneumonie, de la variole, des maladies paralytiques, comme d’autres maladies contre lesquelles les populations avaient été vaccinées juste après la première guerre mondiale. On avait administré quantité de vaccins et de sérums toxiques à pratiquement toute la population. La situation devint réellement tragique quand éclatèrent tout d’un coup ces maladies engendrées par la médecine.
La pandémie s’éternisa deux ans, nourrie par les médicaments toxiques que les médecins prescrivaient pour supprimer les symptômes. Pour autant que j’aie pu l’observer, la grippe atteignait essentiellement les vaccinés. Ceux qui avaient refusé la vaccination échappaient à la maladie. Ma famille avait refusé toutes les vaccinations ; c’est ainsi que nous sommes restés tout le temps en excellente santé. Nous savions de par les enseignements de Graham, Trail, Tilden et d’autres qu’on ne peut contaminer le corps avec de poisons sans que celui-ci ne devienne malade.
Quand l’épidémie atteignit son paroxysme, tous les magasins, les écoles, les entreprises étaient fermés et même jusqu’à l’hôpital. Les infirmières et les médecins qui s’étaient fait vacciner étaient terrassés par la maladie. On ne voyait plus personne dans les rues. La ville était devenue une ville fantôme. Comme notre famille (qui n’avait pas accepté les vaccinations) semblait être une des rares familles à ne pas avoir attrapé la grippe, mes parents couraient de maison en maison pour s’occuper des malades, vu qu’il était impossible de trouver un médecin. Si c’étaient les germes, les bactéries, les virus ou les bacilles qui devaient en fait provoquer la maladie, ils auraient eu cent fois l’occasion de s’attaquer à mes parents qui passaient plusieurs heures par jour dans les chambres de malades. Pourtant mes parents ne contractèrent jamais la grippe et ne rapportèrent à la maison aucun germe qui aurait pu s’attaquer aux enfants. Aucun membre de notre famille ne fut atteint par la grippe ; il n’y eut même pas le moindre rhume alors que l’hiver était rude et la neige épaisse.
On a dit que l’épidémie de grippe de 1918 avait tué 20.000.000 de personnes dans le monde. Mais en fait ce furent les médecins qui occasionnèrent cette hécatombe avec leurs traitements grossiers et meurtriers. C’est une terrible accusation, mais elle n’en demeure pas moins vraie, s’il faut en juger par les succès obtenus par les médecins n’utilisant pas les médicaments.
Alors que pour les médecins et les hôpitaux traditionnels, les décès s’élevaient à 33%, les autres hôpitaux (non traditionnels) comme Battle Creek, Kellogg, MacFadde’s Health-Restorium, obtenaient pratiquement 100% de guérisons avec des méthodes naturelles simples comme les cures d’eau, les bains, les lavements, le jeûne, des régimes alimentaires très bien étudiés comprenant essentiellement de la nourriture naturelle. Un médecin que nous avons connu n’a pas perdu un seul patient de la grippe en huit ans…
Si les médecins classiques avaient été aussi éclairés que les thérapeutes utilisant les méthodes naturelles, on n’aurait sûrement jamais parlé de 20.000.000 morts suite au traitement médical officiel de la grippe.
Chez les militaires vaccinés, la maladie a frappé sept fois plus que chez les civils non vaccinés. Ces soldats souffraient en fait des maladies contre lesquelles ils avaient été vaccinés. Un soldat qui, en 1912, était rentré des territoires d’outre mer m’avait confié que les hôpitaux militaires étaient remplis de cas de paralysie infantile et il se demandait comment il était possible que des adultes puissent contracter une maladie d’enfance. Nous savons maintenant que la paralysie est une suite classique d’un empoisonnement vaccinal. Chez nous la paralysie n’est apparue qu’après la campagne de vaccination massive de 1918.»
Les passages soulignés sont de mon fait afin de mettre en exergue le fait que cette pandémie de pneumonie bactérienne se manifestait selon de multiples formes pathologiques et qu’elle ne frappait presqu’exclusivement que les personnes vaccinées ou médicamentées sous des formes allopathiques.
« La maladie présentait les aspects de la peste noire, comme aussi de la fièvre typhoïde, de la diphtérie, de la pneumonie, de la variole, des maladies paralytiques, comme d’autres maladies contre lesquelles les populations avaient été vaccinées juste après la première guerre mondiale. On avait administré quantité de vaccins et de sérums toxiques à pratiquement toute la population.
Pour autant que j’aie pu l’observer, la grippe atteignait essentiellement les vaccinés. Ceux qui avaient refusé la vaccination échappaient à la maladie. »
Durant cette Première Grande Boucherie Mondiale, l’Institut Rockefeller pour la Recherche Médicale de New-York distribua son sérum toxique et criminel anti-méningite en France, en Italie, en Angleterre, en Belgique et en d’autres pays… ce qui amplifia d’autant plus la “pandémie” en Europe.
C’est en 1920 que Chas. M. Higgins publia son ouvrage de 250 pages intitulé “Horrors of Vaccination Illustrated and Exposed”. [27] C’est un témoignage poignant de l’horreur des vaccinations génocidaires de l’époque. Pensez-vous que la situation ait évolué, depuis un siècle, quant à l’amplitude de l’Horreur Vaccinale?
De plus, ainsi qu’Eleanor McBean le mentionne lorsqu’elle évoque les distributions de très hautes doses de médicaments de toutes sortes – dont les populations furent les cobayes – il est fort probable qu’une partie des décès, lors de la pandémie de 1918/1920, puisse être attribuable à l’usage inconsidéré de l’aspirine. Ou du moins, il est fort probable que l’aspirine ait été un facteur extrêmement aggravant ainsi qu’il est stipulé dans cette étude de 2009 intitulée “Salicylates and pandemic influenza mortality, 1918-1919 pharmacology, pathology, and historic evidence.” [51]
Je remercie Yves Rasir de m’avoir envoyé cette info relative à l’usage de l’aspirine en 1918/1920. Yves est éditeur en Belgique, d’ouvrages en Français, dont des ouvrages dans la ligne de la Nouvelle Médecine Allemande de Ryke Hamer, de Stephan Lanka, de Robert Guinée, etc.  [52] Ces ouvrages constituent le fondement indispensable d’un nouveau paradigme thérapeutique… Cf. son interview du Docteur Claude Sabbah sur les liens entre la Médecine de Ryke Hamer et la Biologie Totale des Etres Vivants. [53]
Je remercie, de plus, le blog Bistrobar qui m’a transféré des articles rédigés dans la lignée de cette même Nouvelle Médecine Allemande de Ryke Hamer et commentant le non-existant Covid/2019. Cocher sur les liens. [54]  [55]
C’est bien souvent la “narration mentale” qui crée la pathologie… et non pas le contraire.
La nature de pneumonie bactérienne, de cette pandémie, a été mise en exergue par diverses études dont celle, de 2008, intitulée “Deaths from Bacterial Pneumonia during 1918–19 Influenza Pandemic” et publiée par des chercheurs vaccinalistes de l’Armée Australienne.
« Les décès, durant la pandémie de grippe de 1918/1919 ont été attribués à une souche hyper-virulente de grippe. C’est ainsi que les préparatifs, pour la prochaine pandémie, se focalisent presqu’exclusivement sur une prévention vaccinale et des traitement antiviraux en cas d’infection par une nouvelle souche de grippe. Cependant, nous partons de l’hypothèse que les infections, générées par cette souche pandémique, induisirent des pathologies très limitées (rarement mortelles) qui ont permis à des souches colonisatrices de bactéries de générer des pneumonies hautement mortelles. Cette hypothèse d’infection séquentielle est confirmée par les caractéristiques de la pandémie de 1918/1919, par les opinions des experts de l’époque, et par notre connaissance actuelle en ce qui concerne les effets pathophysiologiques des virus de grippe et de leur interaction avec des bactéries respiratoires. Cette hypothèse suggère des opportunités pour la prévention et le traitement durant la prochaine pandémie (à savoir impliquant des vaccins bactériens et des traitements anti-microbiens), plus particulièrement si un vaccin spécifique à une souche pandémique n’est pas encore disponible ou n’est pas accessible à des populations isolées, trop importantes, sur le plan de la démographie, ou médicalement oubliées». [29]
Cette même année 2008 a vu la publication d’une autre étude dressant les mêmes conclusions. Cette étude intitulée “Predominant Role of Bacterial Pneumonia as a Cause of Death in Pandemic Influenza: Implications for Pandemic Influenza Preparedness” fut publiée par l’équipe, très vaccinaliste, de Jeffery K. Taubenberger.
« Malgré la disponibilité de données publiées sur les quatre pandémies qui se sont manifestées durant les 120 dernières années, il n’existe que peu d’information récente quant aux causes de décès associées avec les pandémies de grippes. Nous avons, ainsi, examiné les données pertinentes corrélées à la pandémie de grippe la plus récente qui s’est manifestée avant l’usage d’antibiotiques, à savoir la pandémie de la “Grippe Espagnole”. Nous avons examiné des fragments de tissus pulmonaires obtenus à partir de 58 autopsies (de cadavres) et nous avons révisé les données pathologiques et bactériologiques fournies par 109 séries d’autopsies publiées décrivant 8398 investigations d’autopsie individuelle.
La majorité des décès survenus durant la pandémie de grippe de 1918/1919 résultèrent, très probablement, d’une pneumonie bactérienne secondaire provoquée par des bactéries communes du système respiratoire supérieur. Des données moins substantielles – émanant des pandémies subséquentes de 1957 et de 1968 – confirment ces découvertes. Si une pandémie grippale sévère s’avère être principalement un problème de co-pathogénèse virale-bactérienne, la préparation vis à vis de pandémies nécessite d’aller au-delà de la seule cause virale (à savoir de promouvoir des vaccins our la grippe et des remèdes antiviraux). La prévention, le diagnostic, la prophylaxie et le traitement des pneumonies bactériennes secondaires, tout autant que le stockage de vaccins bactériens et d’antibiotiques, devraient constituer les plus hautes priorités en vue d’une préparation à la pandémie». [30]
Ces chercheurs découvrirent des streptocoques, ou des pneumocoques, dans 98,2% des fragments de tissus pulmonaires examinés – mettant, ainsi, en exergue la nature strictement bactérienne de cette hécatombe.
Prétendre que la souche virale n’était en rien dangereuse et émettre l’hypothèse d’une infection séquentielle de type pneumonie bactérienne… n’est que de la poudre aux yeux. La pneumonie bactérienne constituait l’infection première et le virus H1N1 de la “Grippe Espagnole” n’a jamais existé.
Si l’on résume la version officielle. Selon le rapport ci-dessus cité, l’eugéniste Frédérick Gates – l’un des principaux instigateurs de la création de l’Institut Rockefeller pour la Recherche Médicale et, même, de la Fondation Rockefeller – des milliers de soldats eurent plusieurs injections, dosées au petit bonheur la malchance, d’un vaccin expérimental à l’encontre de la méningite bactérienne. Ces soldats développèrent, alors, des symptomes qui “simulaient” une méningite et Frédérick Gates, avec grand aplomb, affirma qu’il ne s’agissait pas d’une méningite réelle – juste d’une simulation. C’est cette simulation de méningite qui fut l’initiatrice de la pandémie de 1918/1920.
Ce fut le début de la grande arnaque, de la grande supercherie, de l’hallucination collective dénommée “Pandémie de Grippe Espagnole de 1918/1920” – un avant-goût de la seconde arnaque du siècle dénommée pandémie Covid/2019 sévissant en 2020, juste 100 années après la fin de la dite “Grippe Espagnole”. Tout va bien?
Selon Jeffery K. Taubenberger, l’un des auteurs de la précédent étude, toutes les pandémies grippales récentes seraient issues de mutations de la “pandémie virale” (de type H1N1) de 1918-1920: à savoir la souche de Grippe Asiatique H2N2 (1957-1958), la souche de la Grippe de Hong-Kong H3N2 (1968-1969), la fausse pandémie de Grippe Porcine H1N1 (2009-2010), etc, ad nauseam.
Jeffery K. Taubenberger a, même, été financé par la Fondation Gates et le DARPA du Ministère de la Défense US) pour reconstruire génomiquement la souche du virus de la “Grippe Espagnole” – qui était une pneumonie bactérienne… Son étude est intitulée “Reconstruction of the 1918 Influenza Virus: Unexpected Rewards from the Past”. [31]
La grande supercherie de Jeffery K. Taubenberger constitue à prétendre, encore et toujours, que l’origine de la “Grippe Espagnole” se trouve dans une méchante souche de grippe aviaire qui, par malchance, a justement agressé des milliers de soldats, au Kansas, qui venaient, juste, de se porter volontaires pour être les cobayes d’une expérimentation vaccinale à l’encontre de la méningite bactérienne.
Ou était-ce alors une grippe aviaire qui aurait méchamment agressé un troupeau de porcs au préalable – car les souches de “grippes aviaires” ne sont pas réputées sauter sur les humains aussi facilement. C’est effectivement une fâcheuse coïncidence que la seule mutation, aux USA, de cette souche H1N1 se soit développée justement dans la région de Fort Riley, au Kansas, où étaient cantonnés des milliers de soldats fraichement vaccinés… et sur le départ vers l’Europe afin de participer à la Première Grande Boucherie Internationale (la Seconde Boucherie Franco-Allemande suivant la première de 1870/1871). Faut-il vous l’envelopper ou est-ce pour lobotomiser de suite?
Selon cette histoire à dormir debout, cette souche H1N1 humaine fut ensuite transmise aux porcs vers 1918 qui l’ont gardé, bien au chaud et très précieusement, pendant 90 ans, sous la forme d’une souche virale porcine différenciée – à savoir différenciée de la souche humaine H1N1 virale pandémique primitive de 1918.
Je n’ai plus le courage de traduire de l’anglais les divagations génétiques de ces scientifiques criminels eu égard à des virus qui n’ont jamais existé, qui n’ont jamais été isolés et qui constituent de la pure science-fiction. Voir l’ouvrage d’Eleanor McBean intitulé “Swine Flue Expose”  [49]
Ce qui ressort de cette gigantesque arnaque pseudo-scientifique [31] c’est que Jeffery K. Taubenberger, et son gang de collaborateurs eugénistes, ont pour objectif final et exclusif de développer une vaccination anti-grippale universelle, donc anti-virale, qui serait valable pour toutes les souches de grippes passées, présentes et à venir.
Ce n’est pas la peine de chercher des photographies de virus pathogènes “isolés” sur internet. Il n’existe que des modélisations en 3D, des rendus artistiques dotés d’une myriade de couleurs psychédéliques. Les virus pathogènes possèdent-ils, donc, une existence existentielle réelle, au fait? Ou ne sont-ils alors que de pures constructions de laboratoires?
Les seules photos que l’on trouve sur internet – ainsi que Stephan Lanka l’a amplement prouvé – des virus pathogènes de la polio, de la rougeole, de la variole, de l’herpès, de l’hépatite A, de la grippe A, du Sida/HIV, de l’Ebola… ne sont que des rendus artistiques, à l’intérieur de cellules, d’une prétendue charge virale. [32]

Les Mensonges d’Etat sont Récusés par les Etudes Récentes Emanant du Paradigme Officiel
Caveat. Dans cette partie de mon article, je reprends des études très récentes émanant de la “partie adverse”, si je puis dire, à savoir émanant de scientifiques qui ne remettent pas en cause l’hallucination collective eu égard à l’existence d’un Covid/2019 – mais qui remettent en cause, nonobstant, les mensonges de la Macronie et de tous les Etats, de par le monde, car cette opération psychologique spéciale, de type 9/11, possède aujourd’hui une envergure planétaire.
Le 19 mars 2020, la Revue Nature a publié une étude intitulée “Estimating clinical severity of COVID-19 from the transmission dynamics in Wuhan, China”. Nous y apprenons, qu’au 29 février 2020, ce sont 2838 personnes qui sont décédées de problèmes respiratoires libellés sous la dénomination “Covid/19”, à Wuhan même – et depuis, la mi-décembre 2019. [17] Cette étude stipule, de plus, que le taux de mortalité, eu égard au nombre de “cas dénommés positifs” serait, donc, de 1,4% – et de 0,6% pour les moins de 30 ans et de 5,1% pour les plus de 59 ans.
Si je puis réitérer ce que j’ai déjà relaté dans mon dernier essai. Pour la province de Hubei, la plus touchée – supposément – par le Covid/19, ce sont 37 144 personnes qui sont décédées, en 2015, de Maladies Pulmonaires Obstructives Chroniques. Cela correspond à 102 personnes par jour – donc, 25 personnes, par jour, à Wuhan même, dans la mesure où le quart de la population de la province d’Hubei y est concentré. [16]
Cela veut dire qu’en temps normal – à savoir, hors psychose générée par l’Etat Chinois – ce sont 1875 personnes qui meurent , à Wuhan même, (en deux mois et demis) de Maladies Pulmonaires Obstructives Chroniques. Ces statistiques ne prennent pas en compte l’accroissement naturel annuel de la démographie Chinoise, à savoir 0,37 %. Ce chiffre met en valeur que le différentiel, d’environ 1000 personnes, doit être imputé, premièrement, à la Psychose d’Etat et, secondement, aux pathologies sévères, dont souffraient les décédés, auparavant – ainsi que l’étude Italienne du 18 mars 2020 le met en exergue.
Devons-nous en conclure que l’épopée de Covid/19, dans “l’épicentre” de Wuhan fut une construction de l’Etat Chinois? Très certainement.
En effet, l’Institut Supérieur de Santé de Rome, le 18 mars, a publié sa première évaluation – présentée sous la plume des journalistes de Bloomberg, Tommaso Ebhardt, Chiara Remondini et Marco Bertacche – de l’état de santé de tous les Italiens prétendument décédés du Covid/19. Cet Institut a examiné les bilans médicaux de 18% des 2500 décédés en Italie. Près de la moitié des “victimes” souffraient, déjà, d’au moins trois pathologies majeures. Un quart des “victimes” souffraient, déjà, d’au moins une ou deux pathologies majeures. Plus de 75% d’entre elles souffraient d’hypertension artérielle et un tiers souffraient de pathologies cardiaques. La moyenne d’âge des décès est de 79 ans. Les quelques “victimes” en-dessous de 40 ans souffraient, déjà, de pathologies très sévères. [7]  [8] En conclusion, 99% des personnes décédées souffraient, auparavant, de très lourdes pathologies. Pour la traduction en français sur le site Turbulence[50]
Tous ceux qui annoncent que 70 % des Français – ou des Allemands ou de la population mondiale –  vont contracter ce virus sont des criminels, tout autant que ceux qui annoncent, triomphalement, qu’une seconde vague va frapper la tranche d’âge de 30 à 50 ans.
Selon les données publiées, le 18 mars 2020, par l’Institut Supérieur de Santé de Rome, 98% des décès “attribués” au Covid/2019 se situent dans la tranche d’âge de 60 à 90 ans et 87% se situent dans la tranche d’âge de 70 à 90 ans. [59] Selon le Professeur Ricciardi, cet Institut considère que seulement 12% des certificats de décès attribués au Covid/2019 ont un lien direct avec le “coronavirus”….
Le 5 mars 2020, la London School of Hygiene and Tropical Medicine, a publié une étude qui met en exergue la dichotomie entre, d’une part, les discours officiels quant à la coronavirose covid/19 et, d’autre part, les bilans réels, et non trafiqués, qui ont été publiés eu égard aux individus testés positifs, et décédés, qui furent séquestrés pendant un mois entier sur le navire de plaisance Diamond Princess: à savoir 7 décès sur 3711 passagers et un pourcentage très bas de positifs symptomatiques ou asymptomatiques. [10]  [11]
Cette étude est totalement, et strictement, en phase avec les déclarations récentes du Professeur Didier Raoult. Qui sont les réels propagateurs de fakenews et de psychose assassine?
Le Professeur Didier Raoult est une éminence mondiale de la virologie et de la bactériologie – s’il en est. C’est même un vaccinaliste, même si modéré. On peut difficilement l’accuser de “conspirationnisme”!! Il fait partie du haut-comité scientifique – créé par la Macronie, ex nihilo – et précise: « J’y dis ce que je pense, mais ce n’est pas traduit en acte. On appelle cela, des conseils scientifiques, mais ils sont politiques. J’y suis comme un extra-terrestre».
Le Professeur Didier Raoult accuse les Décodeurs du Monde et Fakebook d’avoir catalogué ses vidéos en fake-news. Il précise, dans un interview du 16 mars 2020, publié chez Marianne que: «La dangerosité, je ne sais pas ce que cela veut dire. Elle dépend de l’échantillon qu’on observe. On peut regarder en Corée du Sud où l’on a fait ce que je préconise depuis le début, à savoir détecter et traiter, ou dans la plus grande folie réalisée au Japon en coinçant des personnes âgées sur un bateau de croisière, un modèle expérimental équivalent à mettre ensemble vingt souris dont quatre infectées pour regarder combien seront contaminées.» [12]
Pour ricocher sur son commentaire quant à la pseudo-dangerosité du phénomène dénommé Covid/19, la Revue Nature Medecine a publié, le 17 mars 2020, une étude Australienne intitulée “Breadth of concomitant immune responses prior to patient recovery: a case report of non-severe COVID-19” [13] mettant en exergue la capacité du corps physique de combattre le dénommé Covid/19, d’éliminer l’infection en l’espace de quelques jours, de recouvrer une bonne santé… tout comme dans les situations les plus classiques de grippe annuelle. Un résumé de cette étude est présenté sur le site de l’Université de Melbourne. [14] Selon le Professeur Kedzierska: «Nous avons démontré que même si le COVID/19 est généré par un nouveau virus, une réaction immunitaire robuste, dans un spectre de divers types de cellules, chez toute personne en bonne santé, était concomitante d’un recouvrement clinique similaire à ce que l’on peut percevoir avec la grippe.» Selon cette étude, plus de 80% des cas de Covid/19 sont bénins à modérés.
Dossier à Suivre. Je suis à l’écoute de tous commentaires et contributions. xochi@ganjalkemia.com
Xochi le 22 mars de l’An 02 des Gilets Jaunes.
Ce contenu a été publié dans Chimères, Mafia Pharmaceutique, Monographies par xochipelli. Mettez-le en favori avec son permalien.


  le fouineur amateur (mais néanmoins très pro) révèle une information à mes yeux capitale : en janvier dernier,  la Lombardie a été le théâtre d’une grande campagne de vaccination contre les méningocoques. Suite à une mini-épidémie de méningite bactérienne ayant impacté… 6 personnes (avec 2 décès), les autorités régionales ont en effet décidé de vacciner massivement et gratuitement la population. En quelques semaines, plus de 33.000 personnes ont reçu le vaccin. Hier, Dominique m’a envoyé une information supplémentaire tout aussi cruciale :  comme vous pouvez le vérifier en cliquant ici

Ultimo aggiornamento: 31/10/2019

Vaccinazioni antimeningococco in Regione Lombardia

 La vaccinazione è considerata universalmente come il metodo più efficace nella prevenzione delle malattie infettive.
Per tale ragione, attraverso il Piano nazionale di prevenzione vaccinale ed i conseguenti piani regionali,   regioni e ministero definiscono d’intesa le offerte attive e gratuite di alcuni vaccini per il raggiungimento di obiettivi di eliminazione o controllo di determinate malattie infettive in relazione al quadro epidemiologico nazionale ed internazionale.
Per la prevenzione delle malattie invasive batteriche da meningococco, sono disponibili:
1 - Offerta gratuita di :  
     vaccinazione antimeningococco C al 13°-15° mese di vita e fino al compimento di 11 anni di età 
     vaccinazione antimeningococco ACWY per gli adolescenti dagli 11 ai 17 anni di età
     vaccinazione antimeningococco B per i nuovi nati dal 2017
     vaccinazioni antimeningococco B e ACWY per le categorie a rischio
 2 - Accesso alle vaccinazioni antimeningococco per protezione individuale, con la formula del co-pagamento, per i soggetti non inclusi nelle categorie descritte al punto 1.  
Per queste vaccinazioni si potrà accedere al servizio previo appuntamento, telefonando ai seguenti recapiti:
ASST Lecco :
0341 253900  da lunedì a venerdì dalle 9.00 alle 12.00 e dalle 13.30 alle 16.00
cuv.lecco@asst-lecco.it
cuv@pec.asst-lecco.it
 ASST Monza  presso le Sedi vaccinali territoriali
La Vaccinazione Antimeningococco Tetravalente ACWY, dai 18 anni compiuti e per la sola modalità in co-pagamento, è effettuata anche presso l' ASST Monza - Azienda Socio Sanitaria Territoriale Monza - Ospedale San Gerardo.
Modalità di prenotazione:
- Call Center Regionale 800.638.638, da Lunedì a Sabato dalle 08.00 - 20.00.
- Sportelli CUP - Ospedale San Gerardo, Ingresso Palazzina Accoglienza piano terra, da Lunedì a Venerdì, non festivi, dalle 07.30 - 18.00 e il Sabato, non festivo, dalle 07.30 - 12.30.
- Poliambulatorio di Monza (Ospedale Vecchio), Via Solferino 16 Lunedì - Venerdì, non festivi, dalle 08.00 - 17.00
- Poliambulatorio di Brugherio, Viale Lombardia 270
Lunedì - Venerdì, non festivi, dalle 08.00 - 15.15.
ASST Vimercate
     Sede di USMATE                    
- vaccinazioni pediatriche ( minori di 18 anni) 0396654981 lunedì e venerdì dalle 13.30 alle 15.30 mercoledì dalle 9.00 alle 12.00
- vaccinazioni adulti (maggiori di 18 anni) 0396654982 mercoledì dalle 12.45 alle 13.45 giovedì dalle 9.00 alle 12.30  
                                                                                     
     Sede di CARATE                       - 0362826465 lunedì e venerdì dalle 9.00 alle 11.00
     Sede di LISSONE                      - 0392434951 lunedì e mercoledì dalle 13.30 alle 15.30
     Sede di SEREGNO                    - 0362483584 martedì e venerdì dalle 13.30 alle 15.30
     Sede di SEVESO e MISINTO      - 0362645130 lunedì dalle 13.30 alle 15.30 mercoledì dalle 9.00 alle 12.00

Il costo della prestazione per singola dose (costo del vaccino più costo di somministrazione) è il seguente:
-  antimeningococco B:
     Bambini fino ai 9 anni di età:   BEXSERO - 76,43 € (costo vaccino + 10% iva + costo prestazione).   
     Soggetti dai 10 anni compiuti: TRUMENBA - 67,89 € (costo vaccino + 10% iva + costo prestazione).
antimeningococco C:  € 20,07
antimeningococco ACWY : € 44,27
Trattandosi di una scelta di protezione individuale ed essendo la vaccinazione un intervento sanitario, è importante confrontarsi preventivamente con il proprio curante (Medico di Medicina Generale e Pediatra).
Si ricorda di presentarsi il giorno dell’appuntamento muniti di tessera sanitaria e di tesserino/certificato delle vaccinazioni pregresse.
Non è necessaria la prescrizione del pediatra e del medico di medicina generale
Vaccinazione meningococco B presso i Pediatri di Famiglia
Dal 15 giugno 2017 è possibile effettuare la vaccinazione contro il meningococco B presso i propri pediatri di famiglia che hanno aderito all’accordo regionale, approvato con Deliberazione della Giunta n. 6612/2017.
Per effettuare la vaccinazione antimeningococco B in co-pagamento è necessario contattare il proprio Pediatra di Famiglia, che fornirà tutte le informazioni utili e programmerà la somministrazione secondo il calendario per età.
Il costo totale della prestazione è di
     Bambini fino ai 9 anni di età:   BEXSERO - 76,43 € (costo vaccino + 10% iva + costo prestazione).   
     Soggetti dai 10 anni compiuti: TRUMENBA - 67,89 € (costo vaccino + 10% iva + costo prestazione).


 la campagne de vaccination était déjà en cours à l’automne 2019 ! Ce détail est essentiel parce c’est aussi en automne qu’est apparue en Lombardie une étrange épidémie de pneumonies bizarres nécessitant des examens radiologiques spéciaux. Vous ne le croyez pas ? Regardez cette séquence télévisée
(Enregistrée ss : vidéos )

Where is the origin of the coronavirus covid-19? Italian expert has different opnion


Famous Italian medical expert Dr. Giuseppe Remuzzi: special pneumonia symptoms exist in October in Italy

 où le professeur  Giuseppe Remuzzi, Directeur de l’Institut Mario Negri de Recherches Pharmacologiques de Milan, répond aux questions d’un journaliste plutôt énervé.  Incroyable mais vrai, cette interview est passée le 22 mars sur CGTN, chaîne de télévision internationale… chinoise, sorte de Russia Today à la sauce Xi Jinping !  Comme en atteste ce communiqué,


« (COVID-19) Des médecins italiens déclarent avoir vu des cas de pneumonie étrange avant l'épidémie de COVID-19 en Chine (presse)


WASHINGTON, 21 mars (Xinhua) -- Des médecins généralistes italiens se souviennent d'avoir vu des cas de pneumonie étrange depuis novembre dernier, ce qui pourrait faire penser au fait que le virus circulait dans certaines parties de l'Italie avant que les médecins ne soient au courant de l'épidémie de COVID-19 en Chine, a rapporté une radio américaine, citant un article sur la crise du coronavirus paru en Italie.
Cette information a été publiée jeudi par le média américain National Public Radio (NPR) citant Giuseppe Remuzzi, co-auteur d'un récent article dans The Lancet sur l'épidémie en Italie.
Selon NPR, certains se demandent pourquoi l'Italie a été prise au dépourvu lorsque l'épidémie du nouveau coronavirus a été révélée le 21 février. M. Remuzzi a dit qu'il entendait cette information à ce sujet auprès de médecins généralistes.
"Ils se souviennent d'avoir vu une pneumonie très étrange, très grave, en particulier chez les personnes âgées en décembre voire en novembre dernier," a rapporté NPR, citant M. Remuzzi. "Cela signifie que le virus circulait, au moins en Lombardie (région nord de l'Italie) et avant que nous ne soyons au courant de son apparition en Chine."
M. Remuzzi est convaincu que d'autres pays peuvent tirer des leçons importantes de l'Italie, dont la façon de convertir rapidement un hôpital général en une unité de soins coronavirus avec des médecins et des infirmières spécialement formés, a déclaré NPR.
L'Italie a signalé samedi 6.557 nouveaux cas de coronavirus, portant le nombre total à 53.578 depuis que la pandémie a éclaté dans sa région septentrionale le 21 février, selon les dernières données fournies par le Département de la protection civile chargé de répondre à la situation d'urgence de COVID-19. »

la presse chinoise met le paquet sur cette enquête car elle soupçonne le coronavirus d’avoir été importé d’Italie en Chine !  Je m’interroge : comment  se fait-il que cette nouvelle sensationnelle n’ait pas encore fait le buzz dans toutes les rédactions du globe ? Si j’ai loupé cet énorme scoop dans l’actualité, merci de me corriger. 

En fait, on se fiche un peu de savoir dans quel sens a voyagé un hypothétique virus relativement inoffensif.  Ce qui est très important à vérifier, c’est s’il y a un lien entre la vaccination et la multiplication de pneumonies atypiques en Italie.  Vous en doutez ? La probabilité est pourtant très élevée.  Parmi leurs effets secondaires très pervers, les vaccins ont en effet pour conséquence de modifier l’écologie microbienne. La nature ayant horreur du vide,  la niche écologique devenue vacante par l’immunisation artificielle est immédiatement occupée par d’autres espèces de bactéries, plus insidieuses ou plus dangereuses. C’est ainsi que les épidémies de poliomyélite  ont surgi dans la foulée de la vaccination massive contre la diphtérie, ou que de nouvelles formes d’hépatite (C,D, E, etc..) sont apparues en rançon des vaccinations contre les formes A et B.  Ou encore que les méningites ont gagné en fréquence et en  sévérité depuis qu’on les combat vaccinalement. Bien étudié, ce phénomène de « remplacement épidémique »  a récemment fait l’objet d’une analyse par le Dr Michel de Lorgeril dans le 5ème livre de sa série « Vaccins et société », celui consacré aux méningites bactériennes.  Dès janvier 2012, la revue Néosanté avait lancé l’alerte sur cette catastrophe écolo-sanitaire en publiant un dossier intitulé « Vaccins et microbes : les relations désastreuses », rédigé par notre collaboratrice française Françoise Joët, ex-présidente de l’ALIS  (Association Liberté Information Santé). Cet article magistral et toujours actuel  est en accès libre sur notre site et vous pouvez le consulter ici :


dossier Commentaire revue n°8 1 janvier 2012

Les écologistes nous mettent en garde contre le réchauffement climatique, les dangers du nucléaire ou l’effondrement de la biodiversité. Et ils ont bien raison. Mais rares sont ceux qui prennent la mesure du principal péril menaçant l’espèce humaine : les vaccinations de masse et leur multiplication insensée! Contrairement à ce qu’on nous fait croire, les vaccins ne sont en effet pour rien dans le déclin des grandes épidémies de jadis. En revanche, il y a tout lieu de penser qu’ils sont en partie responsables des fléaux actuels et de ceux qui se profilent. Pourquoi ? Parce qu’ils modifient et perturbent profondément l’univers des virus et des bactéries. Sous la pression vaccinale, l’écologie microbienne se transforme et acquiert un caractère pathogène qu’elle n’aurait pas, ou n’aurait plus si l’évolution naturelle de notre biotope était respectée. Dans ce dossier, Françoise Joët nous explique notamment que les ravages de la tuberculose sont clairement imputables à deux siècles de lutte artificielle contre la variole, et que la polio n’aurait pas fait tant de dégâts sans les vaccins contre la diphtérie et la coqueluche ! Autres exemples à l’appui, notre collaboratrice montre bien que les vaccins constituent probablement la menace écologique numéro un.
On le sait depuis longtemps, lorsqu’une niche écologique reste vacante, elle est immédiatement occupée par une autre espèce, la nature ayant horreur du vide. Ainsi a-t-on vu se succéder diverses maladies au cours du temps, les unes remplaçant les autres avec les mêmes cycles d’évolution : l’émergence, de fortes poussées, un palier stable puis leur déclin. C’est en somme le schéma d’une courbe de Gauss. Le principe qui régit ces modifications écologiques avait été défini par le Pr Marko GRMEK dans son livre « Histoire du sida » (Ed. Payot, 1989) sous le terme de « PATHOCENOSE ». La fréquence de chaque maladie dépend de la fréquence des autres maladies dans la même population. « Une sorte d’unité, explique M. GRMEK, ne réunit pas seulement toutes les maladies d’une population, et dès à présent de presque toutes les populations du monde, mais aussi l’ensemble des microbes. Entre ces êtres minuscules et en apparence si simples existent des équilibres subtils, des échanges d’informations et des potentialités d’adaptation dont on commence à peine à soupçonner l’existence. […] Quatre grandes ruptures d’équilibre pathocénotique se sont produites dans le passé du monde occidental : au Néolithique, avec le passage au mode de vie sédentaire ; au Haut Moyen Age, avec les migrations des peuples venant d’Asie ; à la Renaissance avec la découverte de l’Amérique ; et, enfin, à notre époque avec […] la chute de la plupart des maladies infectieuses. Avec la disparition d’un plan de morbidité, un autre apparaissait [1]». Autrement dit, dans la nature, chaque trou qui a été creusé dans un équilibre naturel est immédiatement comblé. La pression excessive exercée sur une espèce de bactérie ou de virus est aussitôt compensée par le développement plus fort d’une autre espèce. La succession des maladies dans le temps n’est pas le fruit du hasard : il faut qu’il y ait, comme on vient de le voir, un élément déclencheur ; l’apparition d’une maladie, l’installation d’une épidémie et leur disparition, tout à une explication.

Les grands fléaux du passé

Remontons à la peste. Voilà une maladie qui a complètement disparu de nos contrées depuis plus de trois siècles. A l’époque où elle faisait des ravages, on ne savait rien du monde microbien, on ne savait rien de ce qui pouvait être à l’origine de ce fléau. Et la maladie s’étendait par vagues successives sur les populations qui voyaient en elle un châtiment divin. Lorsque l’on a compris que le rat était le vecteur responsable de la contamination, par le biais des puces, poux et punaises, des mesures ont été prises pour éviter les contacts infectants. Mais à l’époque antérieure, lorsque l’on n’avait aucune idée de ce que pouvait être la contagion, déjà, instinctivement on prenait des précautions de bon sens : isolement des suspects, hospitalisation des malades, signalisation des lieux atteints, nettoyage des rues, enterrements dans des fosses avec de la chaux et crémation par le feu, surveillance des déplacements de marchandises, mise en quarantaine, utilisation dans les maisons et dans les rues de plantes et d’huiles essentielles (formule de Nostradamus entre autres et vinaigre des quatre voleurs), cordon sanitaire à l’entrée des villes …. Progressivement ces grandes épidémies disparurent grâce aux mesures d’hygiène et aux meilleures conditions de vie tant dans les villes que dans les campagnes, dans tous les lieux où la promiscuité était grande entre les hommes et entre hommes et animaux. Peu à peu les populations s’immunisaient naturellement, mais à la faveur de bouleversements socio-économiques, des flambées épidémiques réapparaissaient (les guerres, par exemple, sont un facteur déterminant dans l’évolution des épidémies lesquelles se développent surtout après les conflits). Au 18ème siècle, la bactérie Yersina pestis, responsable de la peste, ayant pratiquement disparu des pays industrialisés, une niche écologique restait vacante. La nature ayant horreur du vide, comme nous l’avons dit, les microbes automatiquement cherchent à survivre dans l’espace où ils sont le mieux. La variole s’est alors montrée un peu plus virulente et les grandes épidémies de variole succédèrent à celle de la peste. Or, on sait que la variolisation n’a fait qu’accentuer les transmissions en contribuant à entretenir l’endémie et que la vaccination de masse par la suite n’a pas permis de faire disparaître les épidémies de variole qui sans cesse revenaient. Ce n’est que lorsque les responsables des programmes de vaccination antivariolique à l’OMS décidèrent de cesser les campagnes massives de vaccination que la maladie a spectaculairement régressé. Le Pr LEVY BRUHL a d’ailleurs reconnu, verbalement, que l’on n’aurait jamais pu vaincre la variole uniquement par la vaccination, un aveu important quand on sait que cette maladie est toujours présentée comme un modèle pour illustrer le triomphe de la vaccination.

La rançon du BCG

Toujours est-il que la vaccination avait favorisé l’émergence d’un autre germe qui à son tour s’est montré virulent : le bacille de Koch. Ainsi a-t-on vu surgir et s’amplifier la tuberculose au 19ème siècle. Certes, la maladie existait déjà mais ne faisait pas les ravages qu’elle a faits depuis. Là encore la vaccination par le BCG n’a rien changé à l’emprise de la maladie dans les populations les plus vulnérables. Au contraire, il suffit de se reporter à une citation de l’OMS elle-même pour s’en convaincre : «Les efforts de lutte contre la tuberculose sur le plan mondial ont échoué principalement pour les raisons suivantes : engagement politique et financement inadaptés, organisation inadaptée, prise en charge inadaptée des cas, confiance exagérée dans le BCG » [2]. De toute évidence, la vaccination antivariolique systématique que l’on a pratiquée pendant près de 200 ans, a facilité, par la niche écologique qu’elle laissait libre, l’émergence d’autres maladies. Dans le même temps, on a vu se multiplier les cas de syphilis favorisés par les scarifications antivarioliques. Cette maladie a disparu grâce à l’amélioration de l’hygiène et de l’emploi des antibiotiques qui permirent d’éviter les traitements très nocifs à base de mercure que l’on avait coutume de prescrire. Tout se joue dans la nature par un phénomène d’alternance, rien ne meurt, tout se transforme et tout se remplace. C’est le jeu des chaises musicales. Lorsqu’un germe s’affaiblit, un autre qui était endormi se réveille, ou un autre, peu agressif, se met à reprendre des forces et l’ancien est « éliminé », il n’existe plus sous sa forme originelle et n’est plus pathogène. Toutes les transformations qui s’opèrent dans la nature que ce soit par mutation ou par recombinaison, ou tout simplement par substitution, suivent des cycles plus ou moins longs selon les conditions de vie que rencontrent les germes : si elles leur sont favorables, les épidémies peuvent durer. On sait, grâce aux travaux de Louis Claude VINCENT, que ce sont les propriétés physicochimiques du terrain qui conditionnent la nature des microbes qui s’y multiplient et qui sont susceptibles de devenir pathogènes. Mais toutes les épidémies suivent une courbe de Gauss et finissent par s’éteindre, que l’on vaccine ou pas. Une analyse statistique, faite par le Dr VOGT en Allemagne, a montré que lorsqu’il n’y avait pas d’épidémie de variole, personne, ni les vaccinés, ni les non-vaccinés, ne mouraient de la petite vérole et que lors d’une épidémie, la mort frappait aussi bien les vaccinés que les non-vaccinés [3]. Les vaccinations de masse ont toujours été mises en place lorsque les épidémies étaient dans leur phase descendante ou même lorsqu’elles étaient déjà en phase d’extinction : ce ne sont donc pas les vaccins qui font disparaître les épidémies et qui « sauvent des vies », mais bien essentiellement les changements dans nos conditions de vie ; lorsque nos défenses naturelles sont en état de fonctionner à plein régime, nous sommes capables de tenir en respect les germes, de les empêcher de proliférer et de déclencher des pathologies.

Maladies modernes

Les vaccinations ont ouvert la voie à d’autres maladies qui ont pris la place des grands fléaux d’autrefois. La guerre planétaire que l’on a menée contre la variole, maladie virale, a bousculé en profondeur le monde des virus. On ne s’en est pas aperçu, bien sûr. Pourtant on constate que depuis un siècle, progressivement, on est passé des maladies bactériennes qui donnent de la température et dont on ressort vainqueur, avec plus de force après, aux maladies virales, multiples, plus sournoises car moins spectaculaires (peu de fièvre, peu d’éruptions…) qui peuvent traîner, évoluer, disparaître et réapparaître. Les virus sont des voyageurs qui délivrent des messages aux cellules, ils n’ont donc pas de raison de devenir « méchants », sauf à les provoquer. Certes, certaines maladies virales sont bénignes, comme le sont aussi certaines maladies bactériennes. En tout cas, il est un fait que l’on ne voit plus aujourd’hui, sous nos climats, d’épidémies de peste, de scarlatine, de typhus, de diphtérie, de variole, de syphilis, de typhoïde, etc. En revanche, les maladies chroniques ont explosé, car les vaccinations donnent la maladie sous sa forme chronique ; la maladie évoluant à bas bruit, sans symptômes, elle s’installe dans la durée et sape le terrain à petit feu. « Vacciner c’est générer une maladie chronique généralisée et définitive, afin d’éviter une hypothétique maladie aiguë, individuelle et passagère » [Eric ANCELET]. « Une vaccination est toujours une offense pour l’organisme » avait dit le Pr BASTIN. Dans la mesure où effectivement le vaccin va perturber l’écologie microbienne qui assure, quand elle est en équilibre, l’homéostasie de chaque individu, la porte est ouverte à tous les hasards et à l’émergence de nouvelles pathologies. Celles-ci sont la réponse à un message « dérangeant » que reçoit l’organisme.

Exemples de modifications écologiques sous la pression vaccinale

a) Les virus de la polio
Les virus de la polio propres à l’homme peuvent se trouver en grand nombre dans le tube digestif où ils séjournent et se reproduisent. Si rien ne les arrête, les poliovirus se dirigent par voie lymphatique vers le système nerveux central. Et s’ils parviennent à passer la barrière hémato-encéphalique, ils ont le champ libre pour endommager les neurones moteurs périphériques, provoquant une paralysie flasque suivie d’une atrophie musculaire. Pendant des siècles ces virus ne nous ont pas dérangés, ils provoquaient une immunité naturelle, et aucune maladie ne se manifestait. Selon les observations des inventeurs du vaccin, seuls trois sérotypes ne provoquaient pas d’immunité, les types I, II, et III. Pourquoi subitement dans les années 1950 ces virus sont-ils devenus agressifs ? Un facteur déclenchant a été la vaccination massive contre la coqueluche et contre la diphtérie pratiquée dès les années 1940. Voici ce qu’explique le Pr S.VAN CREVELD d’Amsterdam en 1952 [6] : Ces dernières années, on a rapporté de nombreux cas de poliomyélite consécutifs à la vaccination [anticoquelucheuse].
Mac CLOSKEY a montré qu’il existe une relation entre l’inoculation de vaccin anticoquelucheux et une poliomyélite ultérieure lorsque l’injection a été pratiquée un mois auparavant. Le membre paralysé est souvent celui où l’injection a été faite. De plus, cet auteur pense que l’inoculation du vaccin favorise l’apparition de paralysies dans les formes qui eussent été, sans cela, non paralytiques. En Australie, de janvier à novembre 1949, 675 cas de poliomyélite ont été observés dont 620 furent étudiés. 53 de ces malades avaient subi, dans les trois mois précédant les premiers symptômes de la maladie, une vaccination antidiphtérique ou anticoquelucheuse, ou les deux associées. […] Plus la dernière injection est récente, plus la relation avec la poliomyélite est évidente. Anderson et Skaar (Minnesota) ont examiné, en 1946, 2709 cas de poliomyélite au cours d’une épidémie massive. Ils ont constaté l’existence d’une relation entre l’augmentation des cas de poliomyélite et la pratique d’une vaccination quelconque ainsi qu’entre le siège de la dernière injection et celui de la paralysie. Ces auteurs ont montré également qu’il existait une relation entre la vaccination et l’apparition d’une paralysie plus grave que celle des enfants qui n’avaient pas été vaccinés. [..].De ces études, on peut déduire que chez un enfant hébergeant un virus de la poliomyélite, l’injection d’un vaccin polarise la paralysie vers l’endroit injecté. Les souches de ces trois virus I, II et III sont contenues dans le vaccin, aussi bien le vaccin oral que le vaccin injectable. Les grandes campagnes de vaccination ont eu lieu entre 1950 et 1970 aux Etats-Unis et en Europe. Qu’a-t-on constaté à la suite de ces vaccinations de masse ? Le type III, qui ne représentait que 8% des souches avant la vaccination, est devenu le virus prépondérant quand la vaccination s’est généralisée. « La variété des souches est entretenue par la pression sélective des anticorps de chaque individu qui, en fonction de sa réponse immunitaire, peut excréter des virus différents de ceux qu’il a reçus. Les plus grandes variations du génome portent en effet sur les gènes des protéines de surface, celles-là mêmes qui sont reconnues par les anticorps. […] Parmi ces changements, certains sont susceptibles de restaurer la neurovirulence ce qui explique la survenue de poliomyélites associées à la vaccination, soit chez les vaccinés, soit chez leurs contacts » [4].
Les scientifiques de l’Institut Pasteur ne pavoisent pas devant les problèmes engendrés par les vaccinations car ils savent qu’ils ont mis en marche une machine infernale. Les souches d’origine vaccinale ayant un niveau de virulence plus élevé, ils reconnaissent que, maintenant, le problème qui se pose c’est la dérive génétique des souches vaccinales [5]. On en est venu à parler d’une maladie « dérivée » du vaccin, donc une maladie « iatrogène » [a] : «la polio paralytique associée à la vaccination» ou PPAV, maladie qui peut apparaître aussi bien chez les vaccinés que chez les non-vaccinés vivant au contact de vaccinés.
Actuellement, mis à part le Nigeria, le Pakistan, l’Inde et l’Afghanistan, quatre pays d’endémie où circulent encore des virus sauvages, il n’y a plus que des cas de polio vaccinale. Ainsi l’OMS signale-t-elle 23 pays en 2009-2010 précédemment exempts de polio où l’on a observé des réinfections à cause de virus importés [7]. Les quatre doses de vaccin oral administrées à des millions d’enfants dans le tiers-monde depuis plus d’un demi-siècle ne parviennent pas à venir à bout de la maladie qui a pris, depuis, des formes nouvelles. L’utilisation du vaccin polio oral (Sabin) a conduit à une variation antigénique du virus polio [8]. Si l’on avait utilisé tout simplement du chlorure de magnésium et rendu l’eau potable, non seulement on aurait jugulé les épidémies mais on aurait évité la virulence de nouvelles souches et un déferlement de nouvelles maladies. Ce n’est pas le choix qui a été fait, cela montre bien que le but des vaccinations n’est pas d’éviter les maladies, en dépit des slogans habituels, mais bien de maintenir un niveau de morbidité permettant de faire fonctionner un système qui se nourrit de la maladie. Il est important de signaler également que le vaccin polio a perturbé l’équilibre des virus commensaux qui sont présents dans nos intestins tels les entérovirus coxsackie et Echo. En Allemagne on a constaté après vaccination antipolio une diminution de 78% des virus polio mais une augmentation de 455% des virus Echo-Coxsackie [9]. Or, ces entérovirus, en temps normal, ne nous causent aucun souci, mais à partir du moment où l’équilibre est rompu, on constate que les virus Coxsackie peuvent provoquer des méningites, des paralysies, voire du diabète. Comme ces virus sont très nombreux (on connaît 23 sérotypes de virus Coxsackie et 32 de virus Echo), on peut imaginer la cascade de dégâts qu’ils peuvent occasionner [21].
b) Les virus des hépatites
Avant les campagnes de vaccinations lancées avec tambours et trompettes dans les années 1990, personne ne parlait d’hépatites. On connaissait quelques cas de personnes fort affaiblies après une hépatite virale, mais cela n’apparaissait pas comme un fléau. Les autorités sanitaires, de concert avec les politiques, ont imposé une vaccination contre l’hépatite B visant plus de la moitié de la population française, et parallèlement, on a vacciné contre l’hépatite A un certain pourcentage de personnes, qui ont souvent reçu les deux vaccins ensemble. Curieusement, dès ces années-là on a vu apparaître d’autres souches : hépatite C, hépatite D, hépatite E, hépatite G, hépatite H et la liste n’est pas close. Ces virus pouvaient exister de façon concomitante avec l’hépatite A et l’hépatite B, mais certains peuvent avoir été créés par recombinaison avec les virus vaccinaux ; même si ces souches nouvelles ne sont pas redoutables pour l’homme, on a, avec la vaccination, le départ de modifications écologiques microbiennes qui peuvent très bien virer au cauchemar.
c) Les méningocoques
La méningite fait peur et les autorités médicales en profitent pour répandre la panique et imposer la vaccination dès qu’un cas de méningite est signalé [10]. Les méningites à méningocoques sont liées en France, essentiellement à trois souches de la bactérie Neisseria meningitis : A, B et C. A ce jour, on a recensé 12 sérotypes de méningocoques. Mais comme pour toutes les familles de microbes, il existe une infinie variété de souches et de sous-groupes, et le nombre de variétés va toujours croissant si l’on intervient intempestivement dans l’ordre naturel des choses. Ainsi, la vaccination contre un type de virus ou de bactérie va engendrer une effervescence chez les autres « membres de la famille » qui vont renforcer leur virulence ; une façon, en fait, de se défendre. Au début de ce siècle, la plupart des cas de méningite à méningocoques étaient provoqués par la bactérie du groupe A. A partir des années 1960, l’accent est mis sur le groupe B. Ces dernières années, c’est le groupe C qui entre en force. Actuellement, le groupe le plus répandu en Europe est le groupe B. Aux Etats-Unis, c’est le groupe Y qui prédomine, en Afrique c’est le groupe W et aussi le groupe X apparu après vaccination contre la méningite A et C [11]. Il faut s’attendre à ce que d’autres variétés apparaissent dans un avenir proche, d’autant qu’il existe déjà des vaccins conjugués contre les types A et C et un vaccin quadrivalent A, C, Y et W135 (Menveo de Novartis). Le vaccin contre le groupe B, fabriqué en Norvège, est utilisé en France dans les campagnes vaccinales en Seine-Maritime et dans la Somme depuis plusieurs années alors qu’il n’a pas d’AMM et qu’il a provoqué des catastrophes en Nouvelle-Zélande et au Canada. Actuellement le laboratoire Novartis teste en phase III un vaccin contre plusieurs méningocoques B (il existe une multitude de sous-groupes), le BEXSERO, pour lequel le groupe pharmaceutique suisse est en train de construire au Brésil, dans l’Etat de Pernambouco, une usine de biotechnologies, pour 300 millions de dollars, qui sera achevée en 2014 et emploiera à terme 120 salariés. Michel GEORGET dans son livre [12] rappelle les propos tenus par le Dr TAHA, spécialiste des méningocoques à l’Institut Pasteur, dans la revue « Que Choisir » : « Il y a un aspect qui nous fait très peur, ce sont les changements dans les types de bactéries apparues à l’occasion des campagnes de vaccination massive. Ainsi, en Tchéquie, après les campagnes de 1993, on a vu arriver des infections à méningocoques B, certains C ayant commuté vers les B. Ce phénomène de commutation dans lequel la bactérie se détruit et échange son bagage génétique avec les bactéries voisines se produit constamment. Ce qui change tout, c’est la sélection par le vaccin de nouveaux variants virulents et invasifs ». On ne saurait mieux décrire le bourbier dans lequel on s’enfonce grâce à la vaccination et le désarroi des scientifiques, incapables de mettre un frein à une vaccinologie destructrice.
d) Les pneumocoques
Il a été constaté que depuis les années 1990, lorsque l’on a commencé à vacciner contre l’Haemophilus influenzae b, bactérie associée à des méningites du nourrisson (jusqu’à l’âge de 3 ans), le nombre des infections à pneumocoques, par contre, a beaucoup augmenté. Les bactéries Haemophilus apparaissent dans les voies respiratoires supérieures chez la plupart des gens (60 à 90%) sans provoquer de problèmes. En voulant faire disparaître cette bactérie on en a réveillé d’autres dont les pneumocoques, ouvrant ainsi la voie à d’autres formes de méningite. A noter que si l’incidence des infections dues au type Haemophilus b a diminué, les infections dues au type f ont été multipliées par quatre, tendance observée aux Etats-Unis et au Royaume-Uni [13].
Comme il existe aussi un vaccin contre les méningites à pneumocoques, voilà que les choses se compliquent et que nous sommes embarqués dans une histoire sans fin. Les campagnes de vaccination contre les méningites, quelles qu’elles soient, n’apportent aucune amélioration à la situation, bien au contraire, elles l’ont complexifiée, en opérant un glissement vers d’autres types de méningites de plus en plus « sévères », mais aussi en déplaçant l’âge de l’apparition de ces méningites vers les très jeunes nourrissons et vers les adultes. Le Dr Kris GAUBLOMME pose la question : « L’augmentation de l’incidence des méningites n’est-elle pas le prix que nous payons pour la diminution des bactéries Haemophilus influenzae b contre lesquelles on vaccine depuis plus de 20 ans ? ». Dans un article paru récemment dans le journal Le Figaro [14], la journaliste Martine PEREZ fait état d’une enquête française menée par le Pr Didier GUILLEMOT (pharmaco-épidémiologiste de l’Institut Pasteur, Inserm, Université de Versailles) et présentée le 3 octobre à Chicago. Cette enquête montre que loin d’avoir disparu sous l’effet de la vaccination, le nombre de cas de méningite à pneumocoques a augmenté en France. La journaliste observe que « ces données, qui vont être publiées dans une revue spécialisée, soulèvent de nombreuses questions. En particulier, quelle est la cause de l’augmentation de ces méningites ? Le vaccin a-t-il contribué à sélectionner des souches de pneumocoques pathogènes contre lesquelles il ne protège pas ? ». En effet, parallèlement à la diminution des sérotypes contre lesquels le vaccin PREVENAR est censé protéger, on assiste à l’augmentation de méningites liées à des sérotypes non vaccinaux et sensibles aux antibiotiques. Le vaccin PREVENAR 7 qui visait 7 sérotypes de Streptococcus pneumoniae a été mis sur le marché en 2001. Voyant qu’il n’était pas suffisamment protecteur, le fabricant (Pfizer) propose en juin 2010 un autre vaccin antipneumocoques, le PREVENAR 13 visant 13 sérotypes. La surenchère est la seule solution qu’entrevoient les vaccinologues pour faire croire que les vaccins ont toujours le dernier mot. Le Dr Isabelle HOPPENOT, dans le Quotidien du Médecin [15], révèle les chiffres suivants : entre 2001 et 2009, les sérotypes vaccinaux correspondant au vaccin PREVENAR 7 sont passés de 65% à 3%. Mais ils ont été remplacés par d’autres sérotypes non vaccinaux qui culminaient à 77% des cas en 2009. Chez les moins de deux ans, des sérotypes non vaccinaux ont grimpé de 12 à 27% des cas pour le type 19A, et de 1 à 24% pour le type 2F. Chez les plus de deux ans, on note une forte émergence du type 3 avec une augmentation de 9 à 61% des cas. Selon l’étude du Pr GUILLEMOT, il y avait en France en 2002-2003, un peu moins de 600 méningites à pneumocoques chaque année. Ce chiffre est passé à un peu plus de 800 par an en 2008-2009. Le centre national de référence des pneumocoques retrouve une évolution similaire, avec une vraie tendance à l’augmentation à partir de 2006. Le nombre des méningites à pneumocoques était de 0,93 pour 100 000 habitants en 2002-2003. Il est de 1,25 pour 100 000 en 2008-2009. En valeur absolue, 200 cas en plus par an ont été observés entre ces deux périodes. « Le groupe de recherche de Didier GUILLEMOT va maintenant s’attacher à comprendre les causes de cette augmentation paradoxale, alors que la vaccination a monté en puissance » précise la journaliste, qui ajoute que cette croissance concerne toutes les tranches d’âge, les moins de 2 ans et les personnes âgées. Des résultats similaires ont été observés ailleurs en Europe, et notamment en Espagne. « Vu la multiplicité des souches, d’autres phénomènes adaptatifs ne sont pas exclus. D’où l’urgence de maintenir une surveillance très pointue des méningites à pneumocoques. Et de lancer une réflexion de fond sur cette vaccination », conclut-elle. A noter que le vaccin destiné aux adultes (PNEUMO23) vise 23 sérotypes de Streptococcus pneumoniae alors qu’il en existe pratiquement une centaine. Quelle évolution dans les pathologies à pneumocoques nous réservent les souches non vaccinales ?
e) Les papillomavirus
Avec la vaccination contre les papillomavirus lancée ces dernières années, on est en train de provoquer des phénomènes identiques à ceux que l’on vient d’évoquer. Le vaccin GARDASIL qui est censé protéger contre quatre papillomavirus ou le vaccin CERVARIX censé protéger contre seulement deux de ces virus, sont en train de bousculer l’écologie virale de la flore vaginale et il y a fort à parier que d’ici peu, de nouveaux papillomavirus vont se montrer agressifs et déclencher des cancers du col de l’utérus plus invasifs. C’est d’ailleurs ce qui préoccupe l’auteur d’un article paru dans JAMA le 28 février 2007 qui pose la question : « Dans quelle mesure le vaccin ne va-t-il pas favoriser l’émergence d’autres virus hautement cancérigènes qui viendront occuper la niche écologique devenue vacante ? ». Or c’est déjà en train de se produire. Outre les innombrables effets secondaires de ces vaccins, ils ont un effet « boomerang » puisqu’ils sont capables de provoquer par eux-mêmes des cancers. Où est le bénéfice ?
f) Le virus de la varicelle
Avec le vaccin contre la varicelle, lancé sur le marché français en mai 2004, la crainte de voir des épidémies de zona apparaître est tout à fait justifiée. C’est d’ailleurs ce qui a freiné l’utilisation de ce vaccin. Car les experts savaient très bien ce qui allait arriver : le réveil du virus Zoster et pas uniquement chez les personnes âgées. « Actuellement, le risque d’avoir au moins une réactivation du virus Zoster sous forme de zona est de l’ordre de 15 à 20%. Si la vaccination des enfants [contre la varicelle] entraînait un abaissement de l’immunité mémoire des adultes, on peut supposer une augmentation des cas de zona » écrivait Philippe BOURLITIO au moment du lancement du vaccin [16]. C’est ce qui est observé au Massachusetts où l’incidence du zona a doublé entre 1998 et 2003 [17]. Ici le virus de la varicelle est le même que celui du zona, il s’agit plus d’un effet d’amplification de la pathogénicité d’un virus que de pathocénose. Mais il n’empêche que la vaccination comporte ce risque, plus celui de réveiller d’autres virus du groupe herpès auquel appartient le virus Zoster. On sait que ces virus sont cancérigènes, le danger est donc grand de voir apparaître des cancers plusieurs années après la vaccination contre la varicelle, ou contre le zona, puisque pour contrer les méfaits du vaccin VARIVAX contre la varicelle, un vaccin ZOSTAVAX contre le zona est sorti en 2006.

CONCLUSION

On voit, à travers les exemples cités, toute la problématique que soulèvent les vaccinations de masse, systématiques et indiscriminées, inutiles et inefficaces, toutes potentiellement dangereuses. Comme le disait le Pr DELORE, médecin des hôpitaux de Lyon, en 1936 [18] : « Si nous continuons à généraliser et à multiplier l’emploi des vaccins, on peut concevoir que d’ici quelques décades, une pathologie nouvelle, celle des sociétés vaccinées, verra le jour. Héricourt a écrit (19) : « Les vaccinations peuvent provoquer des modifications du terrain organique se traduisant par la création d’aptitudes morbides nouvelles. On ne se demande jamais à quels éléments peut être liée l’apparition de maladies nouvelles. Il serait sage de porter quelques investigations du côté des modifications du terrain créées par la vaccination.» «Il existe actuellement, a renchérit Mauriac (20), une débauche de sérothérapie et de vaccinothérapie à faire frémir… On introduit dans l’organisme des microbes, des albumines étrangères, des substances non assimilées, sans se soucier des modifications apportées ainsi à nos humeurs, nos cellules, notre personnalité biologique ». Ces propos étaient prémonitoires. Aujourd’hui, la santé de l’être humain n’a jamais été aussi désastreuse, aussi chancelante, aussi mise à mal.
1 –Cf René DUBOS « Infection into disease », in D.J. INGLE “Life and disease”, New York Basic Books, 1963, p. 100-110
2 – « Le traitement de la tuberculose – Principes à l’intention des programmes nationaux », OMS, 1997, p.11
3 – Simone et Fernand DELARUE : “Les vaccinations n’ont pas fait régresser les épidémies” (1985)
4 – Michel GEORGET « Vaccinations, les vérités indésirables » Ed. 2011, p.87
a –« iatrogène » = qui est provoqué par la médecine
5 – Radu CRAINIC et coll. « La poliomyélite : une maladie neurologique provoquée par un virus entérotrope » in Annales de l’Institut Pasteur, vol 6, n°2, 1995
6 – « Vaccinations contre les maladies contagieuses de l’enfance », Centre International de l’enfance, 1952, p.263
7 – OMS, Aide-mémoire n°114, Octobre 2011
8 – SHEN Y. et al. « What causes chinese paralytic syndrome ? » The Lancet, t. 344, p.1026, 1994.
9 – LENNARTZ H., in Deutsche medizinische worenschrift t. 88, p. 884-886, 1963
10 – A lire l’excellente brochure du Dr Kris GAUBLOMME “La méningite” (En vente au siège d’ALIS)
11 – S. DJIBO et al. “Portage rhino-pharyngé de méningocoque X dans une école primaire de Niamey (Niger)” Med. Trop, 2004, n° 64, p. 363-66
12 – Michel GEORGET, « Vaccinations, les vérités indésirables »Ed. 2011, p.90 cf « Que Choisir » n°402, mars 2003 : « Vaccination sous condition »
13 – URWIN G. et al. « Invasive disease due to Haemophilus influenzae serotype f », Clinical Infectious Diseases, t. 22, p. 1069-76, 1996 et HEATH P.T. et al. « Non type b Haemophilus influenzae disease… », The Pediatric Infectious Disease Journal, t. 20 (3), p.300-305, 2001
14 – “La méningite à pneumocoques gagne du terrain en France”, Martine PEREZ, Le Figaro, 16 octobre 2011
15 – Dr Isabelle HOPPENOT, « Méningites bactériennes : L’épidémiologie évolue avec la vaccination », Quotidien du Médecin, 10 juin 2011
16 – www.debats-science-societe.net « la vaccination contre la varicelle », 29 avril 2004
17 – P. BEGUE « Vaccin contre le virus de la varicelle et du zona », Virologie, t.10, n°6, p.407-414, 2006
18 – P. DELORE « Tendances de la médecine contemporaine », Ed. Masson, 1936, p. 157
19 – J.HERICOURT, « Les frontières de la maladie », Ed. Flammarion, 1920
20 – P. MAURIAC, « Aux confins de la médecine », Ed. Grasset, 1926
21 – On lira avec profit le livre du Dr Jean PILETTE sur la poliomyélite, « Nous te protègerons », Ed. de l’Aronde, 1997 (En vente au siège d’ALIS)

Enseignante à la retraite, Françoise JOËT a été présidente pendant 15 ans de l’Association Liberté Information Santé (ALIS), dont elle est désormais présidente d’honneur. Rédactrice en chef de la revue « Le Courrier d’ALIS » (revue trimestrielle d’information sur les vaccinations), elle est aussi l’auteur du livre : « Tétanos, le mirage de la vaccination » et co-auteur avec Claude BERNARD du livre : « Hépatites, les vaccinations catastrophe » (publiés par ALIS) et co-auteur avec Sylvie SIMON du livre : « Vaccinations, l’overdose » (Ed. F. Belfond). Membre du groupe européen EFVV (European Forum for Vaccine Vigilance), elle donne des conférences et a participé à de nombreux congrès.
www.alis-france.com – siege@alis-france.com

Que devrait-on faire maintenant  que le suspect vaccin est identifié ?  À mon sens, il faudrait d’urgence vérifier le statut vaccinal des décédés italiens et de leurs proches. Le vérifier aussi dans les autres régions (françaises, espagnoles…) où un nombre anormalement grand de graves pneumonies sont signalées. Certes, l’éventuelle corrélation ne va pas démontrer un lien de causalité. Et le cas échéant,  le puissant lobby vaccinaliste investirait les médias à leur solde pour brandir l’argument habituel de la « coïncidence temporelle » entre vaccinations et maladies. Mais qui serait encore dupe ?  Qui croirait encore à la pertinence des dogmes pasteuriens ? Pour ma part, je lance un appel solennel à l’exploitation de cette piste potentielle. Et je compte sur vous pour faire un maximum de bruit en diffusant ce billet tous azimuts. Je vous embrasse d’avance… sans distanciation sociale.


Cuadro de texto: Yves Rasir

Cuadro de texto: (*) Très troublant : dans son  dernier rapport du 20 mars,
(Enregistré ss:documents :Report-COVID-2019_20_marzo)


 l’Institut Supérieur de la Santé italien ne détaille plus les  traitements administrés aux patients. Vous avez dit omerta ?

                       Covid-19 : 8 vérités à propager


 Ma tentative de décodage biologique, ce sera pour plus tard.  À l’heure où nos libertés élémentaires sont sacrifiées sur l’autel de la psychose, il me semble plus urgent de poursuivre mon décryptage anxiolytique de cette grande mascarade médico-politico-médiatique. Mon but ? Répandre viralement un message apaisant en vous dévoilant des informations dissimulées ou qui ne sont pas cachées mais qui restent peu audibles dans le vacarme des discours alarmistes. Contrairement à d’autres observateurs, je ne crois toujours pas que cette épidémie procède d’un plan machiavélique ourdi par de lugubres comploteurs. Il y a des gens qui tirent les marrons du feu, il y en a même (Georges Soros, Bill Gates…) qui ont misé et spéculé sur un départ de feu. Ça n’empêche pas qu’il s’agisse d’un feu de broussaille d’origine naturelle et appelé à s’éteindre bientôt, avec ou sans  les lois martiales imposées aux populations.  Dans quelques semaines, on va sortir du cauchemar et on s’apercevra que cette virose assez banale ne méritait pas de se faire tant de mauvais sang. Voilà mon inventaire des vérités que les médias dominants occultent ou font mine de ne pas voir pour mieux épouser le sens du vent (de panique) qui fait vendre.

Vérité n° 1 : les chiffres chinois sont hyper-rassurants

 Il suffit de faire un rapide calcul : sur base des statistiques établies en Chine (80894 cas, 3237 morts )  le terrifiant agent infectieux SARS-Cov-2  y a fait très peu de dégâts. Il a  contaminé 0,005 % des habitants de l’Empire du milieu  et décimé seulement 0,0002% de la population.  Certes, je n’ignore pas que ce taux de mortalité global reflète mal les disparités locales : dans la ville de Wuhan et la province de Hubei, le bilan est singulièrement plus lourd, de l’ordre de 1%.  Il n’empêche qu’à échelle nationale, les « ravages » du coronavirus sont ridiculement faibles, très inférieurs à ceux de la grippe saisonnière. Avec environ 0,006% de mortalité, celle-ci est 20 fois plus meurtrière.  Par rapport à la grippe espagnole (40 millions de morts, 2% de la population mondiale selon les estimations les plus sérieuses), le CoVid-19 s’est avéré 5.000 fois moins meurtrier chez les Chinois. Je parle au passé car là-bas, le nombre de nouveaux cas est en chute libre, ce qui augure d’une fin très proche de l’épidémie. Évidemment,  on me rétorquera que cet excellent résultat résulte des mesures de confinement spectaculaires et très coercitives adoptées en Chine. OK, admettons la plausibilité de cette explication indémontrable. Mais pourquoi, comme le font certains épidémiologistes belges et français,  agiter l’épouvantail d’un remake de 1918, avec des centaines de milliers ou de millions de morts à travers le monde ? Pour nous faire peur et nous inciter à être disciplinés ? Je doute  de la valeur pédagogique de ce pessimisme exacerbé. On pourrait très bien faire le contraire et faire miroiter que l’incendie apparu en Chine a été remarquablement maîtrisé.  L’éducation positive, jamais entendu parler ?

Vérité n° 2 : les chiffres européens sont trop bizarres

La justification de ce catastrophisme réside peut-être dans la situation italienne. Ce matin, dans ce pays, on comptabilisait déjà  2503 morts, soit 0,004% de la population. On comprend que l’Italie ait appelé la Chine à la rescousse pour tenter d’enrayer le fléau. Mais si vous allez regarder la carte européenne de l’épidémie, que remarquez-vous ?  D’énormes disparités entre pays et une très nette fracture Nord-Sud : l’Italie et l’Espagne (523 morts) font exception dans un continent où les pays scandinaves se distinguent par une mortalité  dérisoire :  3 en Norvège, 4 au Danemark,  8 en Suède et… 0 en Finlande.  Curieusement, l’ennemi viral semble également très peu létal dans l’ancien bloc de l’Est : 5 morts en Pologne, 0 en Russie, Biélorussie, Ukraine, Tchéquie, Slovaquie, ex-Yougoslavie et pays baltes. Faut croire que l’infâme Poutine a mis ses agents secrets sur le coup et  encore trouvé le moyen de parer aux attaques occidentales… Plus sérieusement, ces chiffres très contrastés indiquent indubitablement que le pouvoir de nuisance du SARS-Cov-2 varie considérablement selon le système de soins qu’il rencontre. Ou selon les décisions des autorités. Ou selon le tempérament des habitants.  Et si c’était un mélange des trois ? En tout cas, cette pathogénèse hétérogène demande à être élucidée. L’insolite gravité de la situation italienne mériterait que tous les journalistes d’investigation du monde convergent vers la péninsule pour y mener l’enquête. Pour ma part, je subodore que le mystère transalpin tient à une mixité d’éléments que j’évoque ci-dessous. Les autres vérités tenues sous le boisseau pourraient suffire à éclairer les bizarreries du « palmarès » européen.


Vérité n° 3 : le patient-type n’a pas changé

Vous vous rappelez du sida ? Au début, il était clair que ce syndrome d’immunodépression frappait exclusivement des homosexuels et des toxicomanes, et surtout les gays s’adonnant à de longues orgies rendues possibles par la surconsommation de médicaments et de drogues récréatives. La découverte providentielle du HIV a permis de faire croire que le tout-venant était exposé au risque et que l’épidémie allait galoper dans tous  les milieux, ce qui ne s’est jamais vérifié.  Avec le Covid-19, nous sommes dans un scénario similaire : épargnant très étrangement les bébés et les jeunes enfants,  la maladie frappe très majoritairement les très vieilles personnes déjà très malades.  On veut nous faire avaler que tout le monde est concerné mais le virus s’obstine à cibler ses victimes dans le 4ème âge en état de délabrement avancé.  En Italie,  selon l’Institut National de Santé cité par mon confrère américain Jon Rappoport  dans sa dernière newsletter,  la moyenne d’âge des patients décédés et testés  positifs était de 80,3 ans. Et seulement deux d’entre eux n’avaient pas d’autres pathologies connues ! Un de mes amis a recueilli un témoignage de première main sur le premier décès belge attribué au coronavirus.  Il s’agissait d’un octogénaire séjournant plus souvent à l’hôpital que dans son home et fréquentant assidument le bistrot du coin. On voyait souvent cet ivrogne tituber à la sortie du troquet et zigzaguer avec son déambulateur. Il serait sans doute mort de n’importe quoi à brève échéance mais il est désormais recensé comme une victime aléatoire de la fatalité infectieuse. Ce week-end, les radios et les télés belges diffusaient en boucle « l’information recoupée» selon laquelle trois médecins urgentistes quadragénaires étaient hospitalisés dans un état critique. Nous sommes mercredi et cette nouvelle n’a pas encore confirmée officiellement alors qu’il y aurait là un solide argument pour accréditer la thèse d’un virus démocratique se détournant du patient-type. Ce qui paraît avéré, c’est que le Covid-19 tue 10 à 20 fois plus de vieillards que la simple grippe saisonnière, du fait d’atteintes pulmonaires plus sévères. Il n’en reste pas moins vrai que l’agent infectieux fait preuve d’une sélectivité peu compatible avec l’idéologie pasteurienne. Si, selon cette religion,  enfants, adolescents et adultes peuvent témoigner de leur solidarité en protégeant les aînés, il est mensonger d’insinuer qu’ils sont eux-mêmes des proies pour l’assaillant viral. La prédilection de ce dernier pour les doyens déjà  très mal en point révèle incontestablement la primauté du terrain.  Reste à comprendre pourquoi Corona exprime davantage  sa dégradation qu’ Influenza. La vérité suivante pourrait nous éclairer.

Vérité n° 4 : c’est surtout une épidémie de iatrogénie

Je sais que je radote mais c’est un clou sur lequel il est important de taper : L’interventionnisme médical et ses effets iatrogènes contribuent très certainement à la létalité attribuée au SARS-Cov-2.   À Wuhan, 90% des patients ont été (mal)traités à grand renfort de cortisone  (immunodépresseur notoire)  et de médicaments antiviraux redoutablement toxiques. Sans reparler de l’oxygénothérapie et de ses risques (voir ma lettre de la semaine dernière), je  vous rappelle que les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) sont aussi des « catalyseurs » de complications infectieuses. À ce propos, vous avez vu ce que le nouveau ministre français de la santé, Olivier Véran, a tweeté le 14 mars ? Il a mis en garde contre les médicaments anti-inflammatoires qui « pourraient être un facteur d’aggravation de l’infection ». Si même les membres d’un gouvernement noyauté par Big Pharma osent l’ouvrir, c’est que le mutisme est devenu intenable. Malheureusement, le successeur d’Agnès Buzin a cru bon de  conseiller à ses followers de « prendre du paracétamol en cas de fièvre ». À très bon escient, mes confrères Xavier Bazin et Jean-Marc Dupuis ont souligné la stupidité de ce conseil et je vous renvoie à leurs textes que vous pouvez lire en cliquant ici  et ici. Il est ahurissant qu’un haut responsable de santé ignore encore le rôle crucial de la température corporelle dans le contrôle des infections. La iatrogénie ne s’arrête cependant pas là. Dans les recommandations qu’elle a mise en ligne dimanche dernier , l’AIMSIB (Association Internationale pour une Médecine Scientifique Indépendante et Bienveillante) pointe en effet un doigt accusateur sur d’autres médicaments susceptibles de favoriser les pathologies infectieuses telles que les anti-hypertenseurs, les sartans et.. les statines ou autre médicaments anticholestérol. Les médecins bienveillants suggèrent d’affronter l’épidémie en ne prescrivant rien pour l’enrayer et en déprescrivant les molécules que les patients absorbent pour d’autres troubles. Mais l’AIMSIB soulève aussi un énorme lièvre : selon des données émanant de l’armée américaine (1), la vaccination  anti-grippale favorise les infections à coronavirus ! Dans son étude, l’auteur  a observé une augmentation de 36% du risque d’infection par cette famille de virus chez les vaccinés contre la grippe. Or doit-on souligner que la médecine  vaccine en priorité les personnes âgées ? Il faudrait d’urgence comparer la liste des décédés avec celle des vaccinés. Et en attendant, suspendre sine die cette vaccination dont on sait déjà qu’elle n’apporte rien de bon.


Vérité n° 5 : il y a  probablement une part d’hystérie

Dans son discours à la nation française, le président Macron  a fustigé l’ « hystérie collective » s’emparant de ses compatriotes qui se ruent dans les magasins et s’arrachent le papier de toilette.  Sur ce coup-là, on ne va pas lui donner tort. Mais il ne s’agit là que d’un épiphénomène. Le phénomène, c’est tout autre chose. À la fois bien documenté et mystérieux, l’hystérie collective est définie depuis Sigmund Freud comme « une lutte contre l’angoisse par conversion somatique », c’est-à-dire par le développement de symptômes évoquant une maladie corporelle. Il ne s’agit pas de signes cliniques imaginaires mais d’une somatisation réelle créée par l’imagination, en l’absence de toute causalité matérielle objective. La psychiatrie et la psychanalyse étudient ce phénomène depuis des décennies et en ont trouvé de multiples exemples anciens et récents. En 1985,  une épidémie de symptômes inexpliqués s’est encore produite parmi le personnel  d’un hôpital de Marseille.  Par curiosité, je me suis acheté hier matin  l’ouvrage « Les peurs collectives », paru en 2013.  Je n’ai pas tout lu mais je suis resté scotché devant le chapitre « la peur sociale somatisée : l’hystérie collective »  écrit par Jean-Bruno Renard, professeur des universités à Montpellier. On y lit ceci : « L’hystérie collective se caractérise par des symptômes psychosomatiques : oppression respiratoire ou abdominale, mal de tête, évanouissement, nausées, dermatoses ». Ses causes ?  « Une angoisse partagée » découlant autrefois du refoulement sexuel et aujourd’hui, dans nos sociétés modernes, du « stress dû à des pressions psychologiques ». Les psys ne savent toujours  pas comment des symptômes physiques peuvent se transmettre par contagion psychique. Mais la réalité de cette contagiosité ne fait plus débat dans leurs rangs. Espérons  que l’un d’entre eux va se pencher sur l’épidémie de Covid-19 car le contexte de peur et de stress transmis par les autorités se prête parfaitement à l’émergence d’un tel processus psychosomatique. Merci Monsieur Macron pour cette nouvelle piste explicative !  Elle m’a fait songer que les Italiens, tifosi dans l’âme,  sont naturellement plus enclins à l’hystérie que les Scandinaves et les Slaves à sang froid.

Vérités n° 6 : les experts ne sont pas unanimes

Pour appuyer le pouvoir dont ils sont les valets, les médias mainstream  belges et français tendent à nous faire croire que les experts (infectiologues, virologues, épidémiologistes…) sont  d’accord encore entre eux, sont tous très inquiets et préconisent  la même stratégie face à l’épidémie. C’est pourtant faux : dès le début, on a bien vu que certaines sommités médicales (Didier Raoult,  François Bricaire, Éric Caumes…) calmaient le jeu,  tenaient des propos rassurants et préconisaient des mesures d’endiguement  légères ou nulles.  Les voix discordantes sont désormais étouffées pour ne pas perturber l’union sacrée et faire accepter le lockdown. À la place du débat d’idées, on fait parader l’inénarrable Michel Cymes qui a retourné sa veste, changé d’opinion et rejoint les troupes pétochardes du caporal Macron.  Mais cette unanimité  de façade ne fait pas illusion : le monde scientifique demeure  divisé et ça se voit au niveau européen : beaucoup de pays copient le modèle chinois mais certains d’entre eux (Pays-bas, Royaume-Uni, Suède…) ont opté pour une circulation relativement libre du virus afin de provoquer une immunité de groupe. Le raisonnement est le suivant : puisque l’agent infectieux est assez contagieux et assez peu dangereux ( c’est logique, voir mes infolettres précédentes), il est préférable de le laisser agir plus ou moins à sa guise et de favoriser ainsi une immunisation collective.  Chez les partisans du confinement, on assiste plutôt à une surenchère de mesures restrictives.  Qui aura adopté la meilleure méthode ? Ce match  est  passionnant car son issue en termes de mortalité et de létalité sera riche en enseignements. Pour l’instant,  c’est plutôt le camp « libéral » qui tient le bon bout par rapport au camp « autoritaire ». Vous devinez mes préférences et mes espérances de victoire pour l’équipe qui aura le moins paniqué….



Vérités n° 7 : les mesures démesurées feront pire

Dans une tribune qui n’a pas fait grand bruit,  le Pr Gilbert Deray, directeur du service de Néphrologie à l’hôpital universitaire Pitié Salpêtrière, a averti  samedi dernier : « attention danger, mais pas celui que vous croyez ».  Une phrase de ce texte m’a particulièrement touché : « Je suis inquiet pour nos anciens déjà seuls et qu’il ne faut plus ni voir ni toucher de peur de les tuer. Ils mourront plus vite mais “seulement” de solitude. » Ce passage m’a ému car je vis exactement ce cas de figure : ma vieille maman de 89 ans est en quarantaine dans sa maison de repos et nous ne pouvons plus la visiter, la voir et la serrer dans nos bras.  Nous lui téléphonons plus souvent mais elle ne comprend pas trop cet isolement forcé et elle manifeste les signes physiques d’une souffrance morale. Question : combien de personnes âgées vont hâter leur dernière heure en raison du lockdown ?  Et combien de petits entrepreneurs et commerçants  poussés  à la faillite vont basculer en dépression ? Combien de suicides dans les familles brutalement désargentées ou ruinées ? Combien de morts en plus en sachant – tous les sociologues de la santé le savent  – que la précarité est synonyme de moindre hygiène de vie ?  Combien de victimes inconnues parmi les angoissé(e)s qui  vont encore consommer plus de médicaments psychotropes pour calmer leur anxiété ?  Combien d’infections nosocomiales fatales supplémentaires dans les hôpitaux aseptisant leurs installations  et instruments à grand renfort de produits biocides ?  Combien d’effets secondaires pervers de la folie désinfectante encouragée par les autorités sanitaires ? Combien de maladies chroniques stimulées par l’interdiction d’activités physiques en groupe ?  Et combien de troubles sévères générés par la peur et le stress ?  Dans le Néosanté d’avril, on vous parle  d’une étude récente révélant que la mise en  quarantaine entraine un traumatisme psychologique pouvant encore se détecter des années plus tard. Et d’une autre recherche scientifique montrant comment le stress affaiblit le système immunitaire et diminue la résistance aux infections. Il sera très difficile d’évaluer toutes les conséquences engendrées par la période de confinement.  Mais on peut rationnellement imaginer que les pertes humaines seront supérieures à celles occasionnées par l’épidémie.  La médicalisation et la pasteurisation de nos existences, voilà ce qui les menace  davantage que le coronavirus !


Vérités n° 8 : non, nous ne sommes pas en guerre

Dans son appel pathétique du 16 mars,  le général de Gaulle du pauvre l’a décrété solennellement : « nous sommes en guerre contre un ennemi invisible ». Lui peut-être, mais pas moi, ni vous sans doute. Quand il a séjourné chez l’Oncle Sam en tant que Young Leader pour se préparer à diriger la France, rallumer la russophobie, vendre Alstom à ses maîtres américains et réformer les retraites au profit des fonds de pension US, le petiot qui aime jouer au soldat a probablement  regardé trop de westerns et écouté trop de discours de Georges Bush Jr . Non, il n’y a pas un axe du bien et un axe du mal. Le monde n’est pas peuplé de gentils humains opposés à de méchants microbes qui veulent leur peau.  Cette vision binaire et belliqueuse de la vie est  puérile, profondément débile et scientifiquement dépassée.  Distrait, le jeune Macron ? C’est pourtant aux États-Unis  qu’a émergé il y a une trentaine d’années la médecine évolutionniste. Comme son nom l’indique, cette branche des connaissances médicales opère la jonction  avec la théorie de l’évolution de Charles Darwin, et plus particulièrement avec son concept fondamental de sélection naturelle.  Puisque la nature sélectionne les organismes les mieux adaptés à leur environnement, il est logique d’envisager les êtres vivants comme des structures assez bien conçues et munies d’outils d’autorégulation plutôt bien fichus. Or cette vision change tout ! À la lumière de l’évolutionnisme, les chercheurs engagés dans cette voie sont en effet occupés à révolutionner l’art de soigner les maladies et d’en prévenir l’apparition. Quelques exemples ? Ils nous disent que la fièvre ou l’inflammation sont des symptômes à ne pas combattre car ces mécanismes permettent d’accélérer l’auto-guérison des maladies infectieuses. Rejoignant les travaux de l’obstétricien Michel Odent, ils nous disent aussi que les accouchements surmédicalisés sont une calamité, notamment par leurs répercussions sur le microbiote des enfants. À propos du microcosme bactérien, ils nous expliquent que l’antibiorésistance est inexorable puisque, selon les lois de la sélection naturelle, les souches les plus costaudes s’adaptent aux médicaments biocides. Adhérant à « l’hypothèse de l’hygiène », ils sont également d’avis que la hantise des microbes et l’excès d’asepsie favorisent grandement les allergies et les troubles auto-immuns.  Les virus, les bactéries, et même les parasites ayant co-évolué avec l’être humain trouvent grâce aux yeux de la médecine évolutionniste. D’ailleurs, certains traitements d’avant-garde consistent à réintroduire des vers dans l’intestin ! Bref, l’ « EvoMed » s’apparente bien davantage à l’hygiénisme naturopathique qu’à la médecine allopathique classique.  La convergence avec la médecine nouvelle du Dr Hamer et la biologie totale du Dr Sabbah relève également de l’évidence : s’ils n’emploient pas exactement les mêmes mots, les médecins évolutionnistes nous disent finalement que les maladies sont des solutions de survie que les êtres vivants développent pour s’adapter à des facteurs de stress. Dans le numéro d’avril de Néosanté,  notre dossier mensuel va vous raconter tout ça. Faites-moi penser à envoyer un exemplaire à l’Élysée, des fois que le mari de Brigitte  se décide à grandir et à sortir de l’obsolète paradigme pasteurien.